Bonjour Rav, j'ai lu dans une de vos précédentes réponses à une question qu'un Sepharade n'a pas le droit de poser une question aux Igrot kodesh du rabbi en précisant que c'était un changement de halakha si les sepharadim le font… Alors pourquoi le rabbi aurait il ecrit ces lettres en disant qu'elles serviraient à tous ceux qui lui poseraient des questions à l'avenir, est ce que le Rabbi de loubavitch (que sa âme soit benit) à donner une coutume seulement aux Habadim? et pas pour les autres juifs? est ce en soit un changement de Halakha que de s'adresser aux igrot kodesh pour les sepharadim alors que le rabbi savait sans doute que beaucoup de juifs de toutes origines continueraient de lui poser des question? notre coutume sepharade veut que nous nous adressions à un sage d'Israel de son vivant mais alors est ce que le rabbi a mis en garde les sepharadim? Poser une question au rabbi canada. merci pour votre réponse. chavoua tov. Réponse du Rav Ron Chaya: Chalom Meyer, Ma réponse ne s'adressait pas qu'aux séfaradim … Quand le Rabbi a dit que ses réponses serviraient à ceux qui lui poseraient des questions à l'avenir, il ne voulait pas dire qu'on ouvrirait au hasard Igrot Kodech pour voir la réponse, mais que si quelqu'un posait une question similaire à celles déjà posées, il pourrait consulter la réponse dans ses livres.
La décision est bonne de faire connaître votre salut personnel, d'amener plus de gens à écrire au Rabbi, et vous les aiderez aussi. Écrire au Rabbi Melech HaMashiah Nous contacter Avec benediction, directeur du site Avraham ben Shimon Si vous avez besoin d'une aide pour comprendre la réponse reçu pas le biais des Igrot-kodech, veuillez nous contacter par Mail ou par WhatsApp pour recevoir la traduction de la lettre. Pour des questions techniques seulment appeler WhatsApp
Bonjour, Certaines personnes voulant mettre en cause la divinité du Christ défendent l'idée que celui-ci étant appelé Rabbi, il était donc obligé d'être marié selon la Loi Juive. Pouvez-vous me donner quelques précisions et arguments contre cela? Merci Sincères salutations, Laurent Bonjour Bruce, Il me semble que les personnes qui défendent cette thèse (dont en premier lieu l'auteur du fameux da Vinci code) commettent un anachronisme; en effet le terme "rabbi" au temps de Jésus était un terme de respect, mais ne désignait pas encore une fonction religieuse et institutionelle, comme le terme de rabbin. Jésus était reconnu comme un "rabbi", un "maître", un homme versé dans les Saintes Ecritures, mais il n'était pas un rabbin au sens moderne. Ce n'est en effet que vers la fin du premier siècle après Jésus Christ, après donc la destruction du Temple, que s'est mise en place l'institution rabbinique telle qu'elle existe encore de nos jours. Poser une question au rabbi louis. Il est vrai en revanche que le mariage était très fortement recommandé dans le judaïsme de l'époque de Jésus.
Certains traités affirment que l'homme célibataire est "incomplet" en référence aux versets de la Genèse sur la création de l'être humain, dans la complémentarité homme-femme. Mais du temps de Jésus des courants prophétiques (comme celui de Jean-Baptiste) et quasi monastiques comme Qumran encourageaient plutôt le célibat. Poser une question au rabbi rose. Il n'y avait donc pas d'obligation au mariage. Soulignons encore les paroles de l'évangile de Matthieu au chapitre 19, 10 à 12, sur les "eunuques à cause du Royaume" qui semblent indiquer que Jésus pouvait recommander le célibat dans une perspective "eschatologique", comme signe du Royaume qui s'approche. Mais, il faut noter surtout que la Bible, et tout particulièrement les évangiles, sont bien silencieux sur ce thème, puisqu'on ne nous dit jamais explicitement si Jésus était célibataire ou marié; signe que cela n'était pas très important pour les premières générations chrétiennes. Et, pour revenir au début de votre question, si Jésus avait été marié (ce que je crois personnellement peu probable, mais pas impossible!
Je me suis rendu un jour dans une école juive laïque en Argentine, et après ma dracha, lorsque le moment est venu généralement de poser des questions, le directeur m'a demandé deux fois s'il était possible d'adresser des questions. Cette question reflétait en réalité l'idée que chez les religieux généralement, il est interdit de poser des questions pour la bonne raison qu'il faut croire sans raison, tandis que les laïcs, n'accomplissent que ce que leur raisonnement explique, et en conséquence, ils n'accomplissent pas les mitsvoth. La mort heureuse de Bar Yo'haï. Et ils ont beaucoup de questions qui restent sans réponse. Je lui répondis: « Bien entendu, il est permis de poser des questions. Pose toutes les questions difficiles. » En effet, le Saint béni soit-Il veut que nous posions des questions et connaissions les réponses, et non que nous vivions avec la foi sans connaître la raison d'être des choses, comme il est écrit: « Connais ton D', ton Père et sers-Le. » En conséquence, le Saint béni soit-Il nous a donné la fête de Pessa'h au cours de laquelle nous effectuons dès le départ toutes sortes de changements pour que les enfants posent des questions, pour leur enseigner à se renseigner sur la raison de chaque chose, et nous leur répondons pour leur montrer qu'il y a réponse à tout.
Le texte reste énigmatique sur le sujet si ce n'est qu'il concernait le rapport entre... Lire la suite n°6 - Focus Rabbi Menahem Mendel Schneerson Le Rabbi de Loubavitch (1902-1994) Rabbi Menahem Mendel Schneerson, connu sous le nom du Rabbi de Loubavitch est le septième héritier de la dynastie du Hassidisme HaBaD fondée par Rabbi Shneur Zalman de Liadi. Il... Lire la suite