Après l'annulation de la saison 2020, la Fédération des courses hippiques a officialisé ce samedi son calendrier 2021. Au programme, dix réunions du 15 mai au 19 septembre entre Bourail, Nouméa, La Foa et Boulouparis. Mathieu Ruiz-Barraud et Claude Lindor (CM) • Publié le 20 février 2021 à 19h07, mis à jour le 20 février 2021 à 19h12 Voilà une bonne nouvelle pour les passionnés de chevaux. La Fédération des courses hippiques a officialisé ce matin le calendrier de la saison 2021. Moment très attendu après l'annulation de la saison précédente à cause de la crise sanitaire. Au menu, dix réunions entre le 15 mai à Bourail et le 19 septembre à Nouméa. Chaque journée comportera sept courses de galop et deux de trot attelé. Toutes ouvertes aux paris. Parmi les grands rendez-vous de la saison, la Bourail Cup le 10 juillet, la Coupe Clarke le 8 août ou encore le Grand prix du gouvernement en clôture le 19 septembre. Des jockeys venus de Métropole Un retour rendu possible avec l'arrivée prochaine de nouveaux jockeys.
Hippodrome Henri Milliard Généralités Surnom(s) Hippodrome de l'Anse Vata Adresse Rue de Boulari 98800 Nouméa Nouvelle-Calédonie France Coordonnées 22° 18′ 00, 27″ sud, 166° 27′ 03, 07″ est Construction et ouverture Début construction 1946 Extension 1998 Utilisation Courses notables Coupe Clark Administration Fédération des courses hippiques de Nouvelle-Calédonie Équipement Tribunes 1000 Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Calédonie Géolocalisation sur la carte: Nouméa modifier L' Hippodrome Henri Milliard est le principal et plus ancien Hippodrome de Nouméa. Il représente les sports hippiques en Nouvelle-Calédonie. Une partie de l'hippodrome est occupée par un practice de golf. Histoire [ modifier | modifier le code] L'espace aménagé par les Américains pour disputer des matchs de [Quoi? ] pendant la guerre du Pacifique devient un hippodrome, qui est inauguré en 1946. En 1998, sous l'impulsion de Jean Lèques, maire de Nouméa, la commune de Nouméa le fait réaménager par l'architecte François Raulet et le paysagiste Philippe Thébaud.
Regroupé de 1988 à 2000 au sein de la Fédération Territoriale des Sociétés de Courses, le monde des courses hippiques s'est réorganisé depuis 2000 autour d'une nouvelle fédération appelée Fédération des Sociétés de Courses Hippiques de la Nouvelle-Calédonie (F. S. C. H. -NC), puis en 2013 Fédération des Courses Hippiques de la Nouvelle-Calédonie (FCH-NC). Elle regroupe l'ensemble des sociétés de courses de la Nouvelle-Calédonie et deux associations de socioprofessionnels, c'est-à -dire: le Comité Hippique de Bourail, la Société Hippique des Courses de Boulouparis, la Société Sportive de la Nouvelle Calédonie, la Société des Courses Hippiques de La Foa, le Comité Hippique Du Nord. L'Association des Propriétaires, Entraineurs et Eleveurs au Galop, L'Association des Propriétaires, Entraineurs et Eleveurs au Trot. Chaque année, sous l'égide de la Fédération, une dizaine de réunions de courses sont organisées sur les quatre hippodromes de la province Sud. Actuellement, La FCH-NC fonctionne grâce aux aides financières allouées par le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie et la province Sud.
Donc la première moitié de saison est organisée de façon à ce que ces chevaux, qu'on n'a pas vus en 2020, puissent avoir des courses et donc un handicap pour que les meilleurs aient le droit de s'aligner sur les courses les plus importantes. » Par exemple, à Nouméa, le 25 juillet, deux semaines avant la Coupe Clarke, seule une course sera réservée aux plus de quatre ans. Le trot prend de l'ampleur L'arrivée de six juments, fin 2020, semble avoir un impact positif sur le trot. Car cette année, ce sont désormais deux courses par réunion qui seront organisées, et non plus une seule comme c'était le cas auparavant. Une quinzaine de montures sont désormais qualifiées pour les courses, un nombre suffisant pour obtenir deux pelotons. Par conséquent, on retrouvera également une plus large diversité dans les distances, de 2 375 à 3 775 mètres. Un grand pas en avant pour le monde du trot, qui peine à exister dans un milieu hippique historiquement dominé par le galop. La saison 2021 • 15 mai à Bourail • 29 mai à La Foa • 12 juin à Boulouparis (dont le Prix Jean-Yves Lacrose) • 26 juin à La Foa (GP de la Province Sud des 4 ans) • 10 juillet à Bourail (GPPS des 3 ans et Bourail Cup) • 25 juillet à Nouméa • 8 août à Nouméa (GPPS des 3 ans, Nouméa Cup et Coupe Clarke) • 21 août à Boulouparis (GP de la Province Nord) • 4 septembre à Boulouparis (GP de sprint, Ladies' Cup, GP de Boulouparis) • 19 septembre à Nouméa (GP du gouvernement) A.
Le plus bel hippodrome de Nouvelle-Calédonie (standing provincial en métropole) est géré et entretenu par la Ville de Nouméa à qui il appartient. La F. C. H. N. -C. y a son siège social. Une partie de l'hippodrome est occupée par un practice de golf et un restaurant. Il est situé à proximité des plages et des grands complexes hôteliers de la ville. Le site sert à diverses manifestations sportives et culturelles. Trois sociétés organisent des courses sur l'hippodrome: l'Association Calédonienne du Trot, la Société Sportive de la Nouvelle-Calédonie et la Société des Courses Hippiques de Nouméa. Sa piste mesure 1 400 m de long sur 16 m de large et est entièrement équipée de lices en PVC. Elle est en herbe et se court à main gauche. Elle possède une piste d'entraînement. Un grande tribune regroupe à différents niveaux: les locaux techniques, le public (3 000 personnes) et des espaces de paris au rez-de-chaussée et au 1er étage. Un rond de présentation se situe derrière les tribunes. Les départs sont données à partir de stalles appartenant à la Société Sportive de la Nouvelle-Calédonie.
En comptant les cinq qui vivent à l'année sur le Caillou, ils seront environ une quinzaine de jockeys pour la saison. Des dotations en chute libre L'équation n'est pas évidente. Alors que les dotations devaient s'élever à environ 50 millions de francs pour 2020, le montant est tombé à 34 millions cette année, expose la FCHNC. Il s'agit de la somme allouée par les institutions (gouvernement et provinces) et les partenaires privés pour la FCHNC et elle ne compte pas encore ceux des sociétés de courses. Deux choix ont donc été faits pour s'adapter à cette nouvelle réalité: revoir à la baisse le nombre de réunions (lire par ailleurs) et mieux répartir les prize money dans les courses. « Dans ces temps de crise, il faut absolument que les plus petites écuries trouvent aussi leur compte », pose Pascal Vittori. Seulement 10 réunions C'est le principal changement annoncé par la FCHNC. Au lieu des 15 réunions habituelles, il n'y en aura que 10 cette année (lire encadré). Un choix lié aux contraintes budgétaires permettant de maintenir des journées normales.