L'économie que le secrétaire d'Etat à la Réforme territoriale, André Vallini, estime possible en alignant la dépense par personne des petites régions sur celles des grandes. Pas étonnant que les candidats aient surtout dégainé des propositions chocs pour retenir l'attention du grand public. Dans le Nord, Xavier Bertrand promet de faire mieux que Pôle emploi pour la reconversion des chômeurs, une « proposition minuscule », tacle l'un de ses collègues. En Paca, Christian Estrosi annonce une carte de transport unique qui sera remboursée « au-delà de cinq retards et d'une annulation dans le mois ». Laurent Wauquiez déclare sur son site: « C e que je veux, c'est une région qui fait du concret. Laurent wauquiez taille poids rapide. » La gauche, qui détenait 21 régions en métropole lors du dernier mandat, défend son bilan. Alain Rousset, en Aquitaine, revendique 18. 383 emplois créés. Dans les deux Normandie, Nicolas Mayer-Rossignol met en avant la meilleure gestion financière consolidée de France. La droite pointe, au contraire, la dérive des dépenses des régions socialistes.
Rencontre et échange amical sur de nombreux sujets avec @xavierbertrand en mairie d' @antibes_jlp Nous sommes pleinement d'accord sur la nécessité d'une candidature unique de notre famille de pensée politique à la Présidentielle — Jean Leonetti (@JeanLeonetti) August 17, 2021 Lors de ce grand raout, les quelque 65 000 adhérents du parti seront censés approuver (ou non) la solution que leur aura concoctée Jean Leonetti. Des adhérents qui, dans leur grande majorité, veulent être représentés à la présidentielle par un candidat 100% LR. Ce que ne sont ni Xavier Bertrand, ni Valérie Pécresse. « Tout va se jouer d'ici fin août. Ça peut se régler par petits rapprochements individuels, veut croire un haut dirigeant pourtant pro-primaire. Un élément majeur sera de voir si Wauquiez y va. S'il n'y va pas, la primaire perd un de ses intérêts politiques. » L'intérêt, en l'espèce, est que la ligne « dure » soit incarnée par un poids lourd. Laurent Baffie candidat : ce proche d’Emmanuel Macron qu’il affronte sans “savoir qui c’est” - Gala. Et un seul. Bruno Retailleau, même s'il est reconnu pour sa capacité de travail et de réflexion, ne décolle pas dans les sondages.
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