Le document: " Commentaire composé sur L'école des femmes Acte 2 Scène 5 (Molière) " compte 761 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous l'un de vos travaux scolaires grâce à notre système gratuit d'échange de ressources numériques ou achetez-le pour la somme symbolique d'un euro. Loading... Le paiement a été reçu avec succès, nous vous avons envoyé le document par email à. L école des femmes acte 2 scène 5 analyse stratégique. Le paiement a été refusé, veuillez réessayer. Si l'erreur persiste, il se peut que le service de paiement soit indisponible pour le moment.
Cette impression d'harmonie se poursuit grâce aux mots qui se font écho "Dès ce soir" qui se succèdent trois fois de suite pour montrer l'insistance de leur accord et le "Oui" qui renvoie aux mariés le jour des noces ainsi que les rimes utilisés par Arnolphe et Agnès "aise", "plaise". De plus la didascalie "riant" prononcée par Agnès montre sa joie du au fait que son mariage se passera le soir même. Nous pouvons dire que ce passage est comique grâce à un quiproquo qui fait appel à la double énonciation visant une impression Ezgzeze 803 mots | 4 pages Click Here Commentaire L'ecole Des Femmes Acte 1 Scene 1 Dissertations et mémoires Rechercher Dissertations 21 - 40 de 1000 * « * 1 * 2 * 3 * 4 * 5 * 6 * 7 * 8 * 9 * 10 *... * 50 * » * Acte I Scene I Ecole Des Femmes Ceux qui sont morts ne sont jamais partis: Ils sont dans le Sein de la Femme, Ils sont dans l'Enfant qui vagit Et dans le Tison qui s'enflamme. "L'Ecole des femmes" acte 2,scne 5 - bienvenue. Les Morts... Sauvegarder…. L'École des femmes 4827 mots | 20 pages Séquence de Molière SOMMAIRE Fiche pédagogique réalisée par Philippe Delpeuch, professeur agrégé de lettres modernes.
Agnès, pour m'écouter, laissez là votre ouvrage. Levez un peu la tête et tournez le visage: Là, regardez-moi là durant cet entretien, Et jusqu'au moindre mot imprimez-le-vous bien. Je vous épouse, Agnès; et cent fois la journée Vous devez bénir l'heur de votre destinée, Contempler la bassesse où vous avez été, Et dans le même temps admirer ma bonté, Qui de ce vil état de pauvre villageoise Vous fait monter au rang d'honorable bourgeoise Et jouir de (... Molière école des femmes, scène exposition, personnages, moralité, acte. )la couche et des embrassements D'un homme qui fuyoit tous ces engagements, Et dont à vingt partis, fort capables de plaire, Le coeur a refusé l'honneur qu'il vous veut faire. Vous devez toujours, dis-je, avoir devant les yeux. Le peu que vous étiez sans ce noeud glorieux, Afin que cet objet d'autant mieux vous instruise A mériter l'état où je vous aurai mise, A toujours vous connoître, et faire qu'à jamais Je puisse me louer de l'acte que je fais. Le mariage, Agnès, n'est pas un badinage: A d'austères devoirs le rang de femme engage, Et vous n'y montez pas, à ce que je prétends, Pour être libertine et prendre du bon temps.
Cela rend la scène amusante et comique. Agnès rend compte d'une scène d'autant plus comique qu'elle est silencieuse: en effet, elle raconte une scène où la parole est entièrement remplacée par des gestes, des mimiques et des attitudes. On a alors affaire à un héritage de la commedia dell'arte. La commedia dell'arte présente un travail scénique d'expression essentiellement »
M'entendez-vous, Agnès? Moi, caché dans un coin, De votre procédé je serai le témoin. Las! il est si bien fait! C'est... Ah! que de langage! Je n'aurai pas le coeur... Point de bruit davantage. Montez là-haut. Mais quoi! voulez-vous... C'est assez. Je suis maître, je parle; allez, obéissez.
Fort bien. Le lendemain, étant sur notre porte, Une vieille m'aborde, en parlant de la sorte: "Mon enfant, le bon Dieu puisse-t-il vous bénir, Et dans tous vos attraits longtemps vous maintenir! Il ne vous a pas fait une belle personne, Afin de mal user des choses qu'il vous donne; Et vous devez savoir que vous avez blessé Un coeur qui de s'en plaindre est aujourd'hui forcé. " ARNOLPHE, à part. Ah! suppôt de Satan! exécrable damnée! Moi, j'ai blessé quelqu'un? fis-je tout étonnée. "Oui, dit-elle, blessé, mais blessé tout de bon; Et c'est l'homme qu'hier vous vîtes du balcon. " Hélas! qui pourrait, dis-je, en avoir été cause? L école des femmes acte 2 scène 5 analyse.com. Sur lui, sans y penser, fis-je choir quelque chose? "Non, dit-elle; vos yeux ont fait ce coup fatal, Et c'est de leurs regards qu'est venu tout son mal. " Eh, mon Dieu! ma surprise est, fis-je, sans seconde; Mes yeux ont-ils du mal, pour en donner au monde? "Oui, fit-elle, vos yeux, pour causer le trépas, Ma fille, ont un venin que vous ne savez pas, En un mot, il languit, le pauvre misérable; Et s'il faut, poursuivit la vieille charitable, Que votre cruauté lui refuse un secours, C'est un homme à porter en terre dans deux jours. "
L'étude du passage se concentre sur le dialogue entre Arnolphe et Agnès. [... ] [... ] Il emploit des verbes pauvres, imprécis tels que prendre et faire Il obtient donc des réponses qui ne le satisfont pas. C'est à cause de ces verbes que va naître le quiproquo. Le quiproquo Le quiproquo naît de la question d'Arnolphe qui est incomprise par Agnès. ouf! traduit la peur. Arnolphe a toutes les raisons de penser qu'Agnès lui cache quelque chose puisqu'elle retarde au maximum ce qu'elle doit avouer. Le texte comprend donc une cascade de répliques très courtes et très vives. L'Ecole des femmes, Acte II scène 5 - Molière - Commentaire de texte - vulcain1988. ] Elle avoue qu'elle a vu Horace plusieurs fois: toutes les fois que je l'entends parler Son ignorance Elle ne connaît pas les choses de l'amour, elle n'a pas compris la nature du mal d'Horace. Elle ne maîtrise pas les mots, elle n'établit pas de lien entre le mal et l'amour d'Horace. Son discours est imprécis, elle a du mal à exprimer ce qu'elle ressent (vers 564). «Comment? Est-ce qu'on fait d'autres choses? montre son ignorance, son ingénuité, son étonnement. ]