A voir et à revoir, à l'école, mais aussi en famille. * « Sexe sans consentement », mardi 6 mars dans l'émission Infrarouge, à 22h55 sur France 2.
Selon ses adeptes, cette pratique procure un plaisir physique pour l'un, très psychologique pour l'autre. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement "Cela demande un lâcher-prise total" Friand de nouvelles expériences sexuelles, Hugo, 32 ans, assume totalement avoir exploré l e plaisir anal de diverses façons. "Je ne me suis jamais enfermé dans un cadre hétéronormé, témoigne-t-il. J'ai découvert ce plaisir seul et je n'ai pas eu de difficulté à le faire avec des filles. Ça demande un lâcher-prise total et rend les orgasmes plus intenses. Pour moi, le sexe, c'est surtout une affaire de sensations. " Souvent, les femmes initient la démarche pour donner plus de plaisir à des hommes réticents. Carine, 28 ans, voulait vérifier si ce mystérieux "point P", sorte de point G masculin existait vraiment. L'histoire d'un mec qui se fait prendre par derrière dans sa propre maison - YouTube. "J'étais avec mon copain depuis quatre ans. Lui était plutôt macho. Je savais qu'il ne serait pas facile d'aborder la question. On est partis à la recherche de ce fameux point P, d'abord avec mes doigts, puis avec un gode.
Ophélie, 29 ans, ne peut envisager d'entrer en son partenaire qu'à certaines conditions. "Ça ne me plairait pas de le pénétrer sans que lui ne me pénètre. Sur l'utilisation d'un godemiché, je ne dis pas 'non' d'office, mais tout dépend du contexte... Je ne me vois pas derrière lui, à quatre pattes, avec un gros truc rose à paillettes. " "Des représentations qui restreignent notre sexualité" Derrière cette peur de perdre son statut, se loge aussi la crainte d'être considéré comme homosexuel. "L'homophobie, ce n'est pas la haine du 'pénétrant', mais celle du passif, de 'l'enculé', continue Philippe Arlin. Femme qui se fait prendre par derrière de la. On déteste les hommes qui ont un pénis et ne s'en servent pas. Avec le plaisir anal, il n'y a pas un homme qui ne va pas se poser des questions sur son homosexualité. Les femmes aussi pensent 'mon mari doit être un peu gay parce qu'il aime bien que je le tripote là'. Nous restons enfermés dans des représentations qui restreignent dramatiquement notre sexualité. " Quand ses amis faisaient des blagues lourdes aux accents homophobes sur la pénétration, le partenaire de Carine détournait le regard, honteux.