05 Heureux l'homme vaillant qui a garni son carquois de telles armes! * S'ils affrontent leurs ennemis sur la place, ils ne seront pas humiliés. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit… Psaume 127 01 Heureux qui craint le Seigneur et marche selon ses voies! 02 Tu te nourriras du travail de tes mains: Heureux es-tu! A toi, le bonheur! 03 Ta femme sera dans ta maison comme une vigne généreuse, et tes fils, autour de la table, comme des plants d'olivier. De sion que le seigneur te bénisse la france. 04 Voilà comment sera béni l'homme qui craint le Seigneur. 05 De Sion, que le Seigneur te bénisse! Tu verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie, 06 et tu verras les fils de tes fils. Paix sur Israël! 7° Conclure avec: 1 Pater Gloria Patri
Que Dieu bénisse tout ce que vous entreprendrez… Christian K
PREMIÈRE LECTURE Lecture du livre de la Genèse (Gn 2, 18-24) Le Seigneur Dieu dit: « Il n'est pas bon que l'homme soit seul. Je vais lui faire une aide qui lui correspondra. » Avec de la terre, le Seigneur Dieu modela toutes les bêtes des champs et tous les oiseaux du ciel, et il les amena vers l'homme pour voir quels noms il leur donnerait. C'étaient des êtres vivants, et l'homme donna un nom à chacun. L'homme donna donc leurs noms à tous les animaux, aux oiseaux du ciel et à toutes les bêtes des champs. Mais il ne trouva aucune aide qui lui corresponde. Alors le Seigneur Dieu fit tomber sur lui un sommeil mystérieux, et l'homme s'endormit. Le Seigneur Dieu prit une de ses côtes, puis il referma la chair à sa place. Avec la côte qu'il avait prise à l'homme, il façonna une femme et il l'amena vers l'homme. L'homme dit alors: « Cette fois-ci, voilà l'os de mes os et la chair de ma chair! On l'appellera femme – Ishsha –, elle qui fut tirée de l'homme – Ish. Psaume 134 - Bénissez le Seigneur. » À cause de cela, l'homme quittera son père et sa mère, il s'attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu'un.
Maintenant une question se pose: une société qui n'a pas conscience du péché, peut-elle demander pardon au Seigneur? Peut-elle lui demander sa purification? Nous connaissons tous des gens qui souffrent et dont le cœur est blessé, mais leur drame est qu'ils ne sont pas toujours conscients de leur situation personnelle. Malgré tout, Jésus continue de passer près de nous, jour après jour (cf. Année B : 27ème dimanche du temps ordinaire - Les textes - Paroisse-Mouscron. Mt 28, 20), et Il attend de nous toujours la même demande: «Seigneur, si tu le veux…». Mais nous aussi nous devons collaborer. Saint Augustin nous le rappelle dans sa formule classique: «Celui qui t'a créé sans toi, ne te sauvera pas sans toi». Nous devons donc être capables de demander au Seigneur son aide, de vouloir changer avec son aide. Quelqu'un se demandera: pourquoi est-il si important de se rendre compte, de se convertir et de désirer changer? Tout simplement parce que, sinon, nous ne pourrions toujours pas donner une réponse affirmative à la question précédente, où nous disions qu'une société sans conscience du péché ne ressentira que difficilement le désir ou le besoin de chercher le Seigneur pour lui demander son aide.
À cette occasion, ils offraient au Seigneur les premiers fruits de leur récolte, la première gerbe d'orge, reconnaissant ainsi que le fruit de la terre est un don de Dieu à ses enfants. Un homme en marche Mais est-ce si simple de suivre les voies de Dieu? Parfois, nous nous sentons ajustés à la volonté de Dieu pour nous, en harmonie avec la Création et avec les autres hommes, mais est-ce toujours le cas? Si la bénédiction n'est liée qu'à notre mérite, nul doute qu'il y aura des jours sombres dans nos vies! Un seul, nous le savons, a véritablement suivi les voies de Dieu et accompli sa volonté, c'est Jésus-Christ. De sion que le seigneur te bénisse de la. Cependant, il appartient à chacun de « marcher », rappelle le psaume, de se mettre en route, d'avancer sur des chemins de vie. L'homme dont le psaume brosse le portrait est un homme en marche, emporté par un élan joyeux où se profilent les bénédictions à venir. Ainsi, l'auteur n'évoque-t-il pas la difficulté de ce cheminement: il dirige notre regard vers le fruit de notre labeur, qui efface toute la peine qu'on y a prise.