Jusqu'à ce jour, des acquis ont été enregistrés pour la pérennisation du projet. Sur le site actuel de Toumodi se déroule un grand élevage expérimental qui abrite plus de 500 têtes. Doté d'un dortoir d'une capacité d'accueil de 16 lits, d'une salle de cours de 16 places et d'un réfectoire, ce centre permet d'assurer la formation théorique et pratique de toutes les personnes qui s'intéressent au projet. La formation se déroule en un mois pour quatre modules. Elle porte sur les généralités, les infrastructures, le matériel aulacodicole, l'alimentation, la gestion sanitaire, la reproduction et la commercialisation. Les apprenants ne sont pas obligés de séjourner au centre pendant un mois d'affilé. Ils ont la possibilité de suivre la formation, en fonction de leur disponibilité, en deux ou trois séquences. Les promoteurs formés peuvent bénéficier de l'appui technique de l'ANADER qui peut également leurs offrir les animaux reproducteurs pour démarrer leur activité. Ils peuvent également être mis en contact avec d'autres éleveurs pour se procurer les animaux.
Malgré ces atouts et la forte demande tant nationale que sous-régionale en viande de lapin, la production cunicole tarde à décoller véritablement. " "C'est dans ce contexte, et pour promouvoir la filière lapin, que le gouvernement béninois, avec l'appui technique et financier de la FAO, a entrepris d'élaborer la Stratégie nationale de Développement de la Cuniculture (SNDC) au Bénin assortie d'un Plan d'action quinquennal 2018-2022. "
Les races à "laine", les angoras qui fournissent du poil de 5 à 6 cm de long. En raison de l'épaisseur de ce pelage en fin de pousse (avant la mue), les lapins de ce type supportent très mal les fortes chaleurs. Par ailleurs, il existe une gamme très variée de couleur de ce poil et de répartition des couleurs comme l'indique la figure 2 ci-dessous (Deux exemples de races pour chacun des 8 types de répartitions des couleurs) >Alimentation Le nombre de prises de repas est évalué entre 20 à 30 fois par jour et notamment la nuit. La quantité moyenne d'aliments consommés par jour (aliment sec distribué à volonté) est de: 150 à 350 g par lapine suivant son stade physiologique, 100 à 120 g par lapereau en engraissement. Le lapin est un gros consommateur d'eau potable en particulier les lapines allaitantes et les lapereaux en croissance. La consommation d'une femelle allaitante est de près de 1 litre par jour. Celle d'une femelle avec ses petits est de 1, 5 à 2 litres par jour. >Logement Il faut distinguer dans l'élevage des lapins, 2 périodes: la première en maternité puis la deuxième en engraissement Nous allons développer ci-dessous les différents besoins en bâtiment, cages, matériel.
Et ceux qui se sont installés n'ont pas poursuivi. Donc on est obligé de recommencer. Mais il existe de nombreuses associations d'apiculteurs. La production de miel est surtout destinée au marché national. Nous souhaitons développer l'exportation et récemment nous avons été contactés par des entreprises locales pour exporter. D'ailleurs un de nos producteurs était venu au Congrès de l'apiculture française en 2004 et il a eu des contacts. On lui a demandé de fournir 20 t de miel par an. Mais il n'a pas eu assez de ressources et n'a pas pu réunir ce volume. En Côte d'Ivoire aujourd'hui, la production ne dépasse pas 10t. Le miel ivoirien est à base de café car il est produit sous les pieds des caféiers. Il est aussi produit à partir de bois sauvage, de karité, d'anacarde ou encore de fleurs de manguiers. Cela donne un goût très particulier au miel. Et, par exemple, le miel à bas de café a les vertus du café: il éveille et donne du tonus. Ou sinon, il y a aussi la cuniculture. On l'a classé dans l'élevage non traditionnel alors que l'élevage de lapin existe depuis longtemps.