Au point qu'on trouve en ligne un article médical sur les conséquences de l'introduction de jus de piment dans un sexe masculin (entre autres intromissions d'alcool, de cire ou d'huile pour bébé). Mais exactement comme dans le cas d'autres pratiques considérées comme extrêmes, au premier rang desquelles la pénétration anale, la douleur n'est pas obligatoire: elle peut être recherchée, mais le plus souvent, elle reste le fruit d'une incompétence. Même chose pour les premières pénétrations vaginales! On m'a mis un coton tige dans la bite sur le forum Blabla 18-25 ans - 15-09-2014 12:42:14 - page 2 - jeuxvideo.com. En tout cas, si vous opérez de manière progressive, il n'y a aucune raison de terminer ni dans le bêtisier des urgences, ni replié en position fœtale sur le carrelage de votre cuisine. Il n'est d'ailleurs pas rare de lire des commentaires d'internautes déçus de n'avoir rien senti de particulier! Comment stimuler votre pénis de l'intérieur, puisque vous êtes désormais archi-tenté par l'expérience (évidemment)? Armez-vous de temps (nous sommes dimanche), d'attention et de l'outillage spécifique – car même si on peut tenter les pénétrations improvisées à coups de crayons, bougies, manches de fourchette ou cotons-tiges, vous n'avez certainement pas envie d'attraper une infection urinaire, de vous déchirer l'urètre, ou que cette brindille se casse à l'intérieur.
Il se branle toujours devant moi. Sa queue a atteint une taille réellement impressionnante. Je rentre sous le jet de la douche avec lui et il me presse contre lui. Son corps est musclé et ferme. Ma tête lui arrive au niveau de ses pectoraux. Il se penche pour m'embrasser et sa queue se durcit sensiblement. Je n'ai pas à me pencher beaucoup pour le sucer. Il me prend la tête entre les mains et me dirige sur son gourdin. Je fais de mon mieux pour le prendre en entier dans ma bouche, mais il est vraiment très gros et massif. Basket et grosse tige juteuse — Gai-Éros. Je m'applique, mouillant mon cul comme un cinglé. Je pourrais presque jouir rien qu'en le suçant et sans même me toucher. Je tâte ses grosses couilles pesantes et rugueuses. Sa peau est râpeuse et tannée. Il n'a pas beaucoup de poils et je prends mon pied en les lui malaxant. Tout en le pompant je le branle doucement, partant de la base majestueuse de sa queue jusqu'à son gland en forme d'ogive. Il me retourne délicatement et me fait couler du savon liquide entre les fesses.
L'époque Connaissez-vous le sodurètre? Cette pratique consiste à stimuler le sexe masculin… de l'intérieur. Bref, c'est un peu le pénétreur pénétré, explique la chroniqueuse sexe de « La Matinale du Monde ». Article réservé aux abonnés LE SEXE SELON MAÏA Commençons par la question qui tue: pourquoi faire une chose pareille? Par ennui, par goût du risque? Peut-être. Mais les adeptes de la stimulation intérieure du pénis évoquent surtout d'extraordinaires orgasmes, des plaisirs différents, des érections prolongées. A proximité immédiate d'une grande concentration de nerfs, de tissus érectiles et de la prostate, un tel enthousiasme n'a rien de risque de hérisser les âmes sensibles et de retourner quelques évidences, le pénis n'est pas seulement une excroissance pénétrante: elle est aussi pénétrable. Tige dans la boîte à outils. Par l'urètre. La pratique s'appelle le sodurètre, elle consiste à enfoncer des tiges, doigts, crayons ou autres dans le pénis via l'urètre, superficiellement ou en profondeur, jusqu'à éventuellement chatouiller la vessie.
Vous n'espériez pas qu'il existe en 2017 des orifices du corps humain n'ayant jamais été explorés, n'est-ce pas? Quand on veut, on peut – et sexuellement, quand on peut, il est fréquent qu'on se mette à vouloir. Cette pratique permet également de renouveler son répertoire sexuel et d'embêter les masculinistes. Tige dans la site web. Car si vous estimez que la nature est bien faite et que les femmes « doivent » être pénétrées sous prétexte qu'elles ont un vagin, alors la nature permet la pénétration du pénis – auquel cas les pénis « doivent » eux aussi être pénétrés (repose en paix, concept de sexualité naturelle). Pratique popularisée par le BDSM Notons par acquis de conscience que même si la littérature médicale ne mentionne que quelques dizaines de cas, un urètre féminin peut être pénétré par un pénis – une mauvaise idée liée à des incontinences urinaires au mieux, des ruptures de la vessie au pire. Côté masculin, on a récemment entendu parler du docking, qui consiste à pénétrer avec son pénis le prépuce d'un partenaire masculin.
Je suis en transe complète. J'admire les muscles saillants luisants de sueur dans l'effort. Pour le ménage dans les vestiaires, c'est encore mieux. Je fais traîner les choses, je passe et repasse la serpillière sur des endroits propres, juste pour les voir nus. Je suis tout retourné. Je ne sais plus où donner de la tête. Un soir comme les autres, je finissais de nettoyer les douches vidées de leur contingent de beaux mâles. Quand soudain entre un jeune athlète noir. Il ne porte rien et se promène devant moi, son sexe au repos se balançant au gré de ses mouvements. Il me dit bonsoir et je lui réponds timidement. Il commence à se savonner. Je cherche une contenance car je ne peux m'empêcher de mater son braquemart. Il le remarque assez vite et j'ouvre grand mes yeux quand je vois son engin se dresser devant moi. Il se passe du savon sur le gland et s'astique la queue par la même occasion. Je m'arrête un instant et je le regarde faire. Ce qu'il se passe quand on s'enfonce des trucs dans l'urètre. Son regard croise le mien et il me fixe intensément. Je me déshabille.
Il existe un équipement: ne faites pas les malins, utilisez-le. Et parce que votre sexshop le plus proche n'aura pas forcément la bonne référence, il faudra soit passer par une plate-forme BDSM (pour trouver par exemple des plugs qui « boucheront » le pénis), soit taper « sonde urétrale » dans votre navigateur. Lire la suite.