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Sami Mekki, PDG de la Poste tunisienne, a assuré à Mosaïque FM, ce mardi 8 mars 2022, que la demande d'autorisation pour le lancement de la Banque postale a été déposée auprès de la Banque centrale, depuis 2019. Le responsable a expliqué que le dossier a bien avancé, durant les deux premières années, surtout en 2021, mais l'instabilité politique et l'absence de volonté ont bloqué ce projet. Mekki a ajouté que le dossier de transformer la Poste en banque est encore sujet de débat. Récemment, le gouverneur de la BCT, Marouene Abassi, a assuré que les négociations sont dans un stade très avancé. Le PDG de la Poste a expliqué que la Poste tunisienne effectue toutes les opérations financières et participe à l'intégration financière en Tunisie, "surtout qu'environ quatre millions de citoyens ont des comptes d'épargne et que plus d'un million ont des comptes postaux. En plus, près de cent mille clients ont recours quotidiennement à la poste. Actuellement, environ 85% des actions avec les clients sont financières.
Le troisième se propose de permettre aux jeunes qui désirent créer leurs propres projets d'accéder à des moyens financiers mobilisés par la Banque des régions (lignes de crédit et autres facilités de crédits…). La Banque des régions, par définition, est plus proche de ses clients dans les régions qu'une banque d'affaires ou une banque universelle classique. Concrètement, elle va fournir, via le réseau bancaire existant, des produits et services avec le concours de toutes les banques et structures financières disponibles. Ce type de banques a connu beaucoup de succès dans des pays industrialisés comme l'Allemagne et la Grande-Bretagne, mais aussi dans des pays qui ont connu une transition démocratique, en l'occurrence l'Espagne et les pays d'Europe centrale et orientale (PECO). Les modèles les plus connus ont pour noms: Hausbank (Allemagne), Chaelbols (Corée du Sud), Zaibastu (Japon)… D'ailleurs, ce n'est pas un hasard si la banque allemande de développement et de reconstruction (KFw) va contribuer, de manière significative aux côtés d'autres bailleurs de fonds, au financement de la Banque des régions dont le capital est fixé, selon l'ancien ministre des Finances, Ridha Chalghoum, à 400 millions de dinars (MDT).
La création de cette société était impérative pour l'obtention de la validation de la Banque centrale de Tunisie (BCT) et l'autorisation de créer la banque ambitionnée. Le projet, confié à une unité de gestion par objectif " Business unit " (unité d'affaires) créée au sein de l'Office de la poste tunisienne, est toujours en stand-by. Pourtant, cette Banque postale a non seulement tous les atouts pour réussir mais surtout les moyens de réduire le chômage dans les régions de l'intérieur (plus de 30% dans certains gouvernorats), de booster l'investissement dans les micro et moyens projets, et d'atténuer, de façon générale, la précarité multiforme qui prévaut dans l'arrière-pays. Concrètement, fort de 1 200 bureaux postaux répartis sur tout le territoire du pays, de 4 millions de détenteurs de comptes d'épargne représentant 25% de l'épargne du pays et de 2 millions de comptes courants, le projet de Banque postale a toutes les chances de réussir. Ce type de banque est inspiré d'expertises réussies dans des pays développés comme la France, l'Italie et le Japon.
Malgré le contexte difficile dû à la covid-19, la filiale locale du groupe bancaire islamique basé au Bahreïn, Al Baraka Banking Group, s'est engagée à soutenir l'activité d'Enda Tamweel, qui contribue à l'octroi de microfinancements aux populations vulnérables. Dans son dernier rapport annuel, comptant pour l'exercice 2020 et publié le 8 décembre dernier, Al Baraka Bank affirme avoir augmenté de 22% son volume global de financements à sa clientèle, au cours de l'exercice 2020. Le prêt consenti servira à « financer l'activité et les projets des micro-entrepreneurs par l'octroi de microfinancements qui auront des effets positifs sur la création d'emplois et la pérennité des entreprises, notamment dans ce contexte économique critique », souligne Enda Tamweel dans une note officielle, relative à cet accord de financement. Depuis sa création en 1995, la structure affirme avoir servi plus de 1 million de personnes et accordé près de 4 millions de prêts. Elle revendique un portefeuille de 430 000 clients actifs, domiciliés principalement dans des régions isolées de la Tunisie.
Elle emploie 9200 personnes, compte 1043 bureaux, 3, 6 millions de carnets d'épargne (3, 6 milliards MDT), 1, 9 comptes postaux (1, 9 milliard de dinars), 100 000 cartes électroniques de retrait et de payement, 72 DAB, exporte des timbres et des services à distance, et assure les transferts électroniques avec le concours de Western union (1 million de mandats en 2012) ».