Une suite numérique est une liste rangée de nombres (on ne peut donc pas les déplacer dans la liste). Chaque nombre de la liste est appelé terme de la suite; il est repéré par son rang. Le terme de rang n est noté un (u indice n) Le contenu du document Cours Exercices sur les suites numériques Télécharger ce document gratuitement Donne ton avis! Rédige ton avis Votre commentaire est en attente de validation. Exercice suite numérique bac pro francais. Il s'affichera dès qu'un membre de Bac pro le validera. Attention, les commentaires doivent avoir un minimum de 50 caractères! Vous devez donner une note pour valider votre avis.
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3. On a u1 = 3, u2 = 9, u3 = 27, etc. et la somme des 4 premiers termes est S4 = 1. = 40. 3. 3 Suites récurrentes Une suite de récurrente est une suite définie de façon suivante: u0 = a avec a un réel et un+1 = f(un) avec f une fonction définie sur R
Exemples: 1. un = sin(n) 2. un = n2, 2. Propriétés 2. 1 Comportement d'une suite Une suite (un)n est dite: - croissante (ou strictement croissante) lorsque un+1 ≥ un (ou un+1 > un) pour tout n. - décroissante (ou strictement décroissante) lorsque un+1 ≤ un (ou un+1 - monotone lorsqu'elle est croissante ou décroissante. Quand il s'agit d'étudier le comportement d'une suite, on peut soit étudier le signe de un+1 – un, soit étudier le comportement de la fonction associée. Exemple: pour tout n > 0 On a donc la suite (un)n est décroissante. Ou on peut étudier la fonction f(x) =. On a f'(x) = < 0 avec tout x ≠ 0 donc la fonction est décroissante, donc la suite (un)n est décroissante. - majorée s'il existe un réel M tel que un ≤ n M pour tout n. - minorée s'il existe un réel m tel que un ≥ m pour tout n. - bornée si elle est minorée et majorée. Bac Pro - Exercice corrigé - Somme des termes d'une suite arithmétique et géométrique - YouTube. Théorème: Toute suite croissante et majorée (ou décroissante et minorée) est convergente. 2. 2 Somme et produit de deux suites Si les deux suites (un)n et (vn)n sont convergentes et tendent respectivement vers h et k: - La suite (un+ vn)n est convergente et tend vers h+k - La suite (un.
2- Soit \(d\) un diviseur commun de \(x\) et de 2015. a) Montrer que \(d\) divise 1436. [Espace bac pro Marc Seguin] Les suites numériques. b) En déduire que \(x\) et 2015 sont premiers entre eux. 3-a) En utilisant le théorème de FERMAT, Montrer que: \(x^{1440}≡1[5]\), \(x^{1440}≡1[13]\) et \(x^{1440}≡1[31]\) (remarquer que: 2015=5×13×31) b) Montrer que: \(x^{1440}≡1[65]\) en déduire que: \(x^{1440}≡1[2015]\) 4-Montrer que: \(x≡1051[2015]\) Exercice 3: (4 points) \(M_{2}IR), +, ×)\) est un anneau unitaire dont l'unité est: \(I=\left(\begin{array}{cc} 1 & 0 \\ 0 & 1 \end{array}\right)\) et que (IR, +) est un groupe commutatif. Pour tout nombre réel x on pose: \(M(x)=\left(\begin{array}{cc} 1-x & x \\ -2 x & 1+2 x \end{array}\right)\) et on considère l'ensemble E={M(x) / x∈IR} On munit \(E\) de la loi de composition interne \(T\) définie par ∀(x, y)∈IR²: \(M(x) T M(y)=M(x+y+1)\) 1- Soit \(φ\) l'application de \(IR\) dans \(E\) définie par ∀(x∈IR: \(φ(x)=M(x-1)\) a)Montrer que: \(φ\) est un homomorphisme de \((IR, +)\) vers \((E, T)\) b) Montrer que: \((E, T)\) est un groupe commutatif.