Pour sa première édition, le Forum international du couteau contemporain (FiCX-Paris) réunit au palais Brogniart quatre-vingts exposants du monde entier. La coutellerie d'art pose ses griffes à Paris De la passion au salon Aux origines de la profession Les dagues chimériques de Jean-Marc Laroche Les fourreaux de nacre d'Attilio Morotti La poésie nipponne d'Harumi Hirayama Pour sa première édition, le Forum international du couteau contemporain (FiCX-Paris) réunit au palais Brogniart quatre-vingts exposants du monde entier. Ce nouvel événement entend faire de Paris un lieu incontournable pour le couteau contemporain et donner à la coutellerie une place de premier plan dans les métiers d'art. Salon du couteau paris wine. Benoît Lafay FiCX-Paris, palais Brogniart, place de la Bourse, 75002 Paris, les 21 et 22 juin. ill. : (©Nicole & Pierre Reverdy) Monté en famille, ce salon est né de la passion de Mathew Thomas pour les couteaux, transmise à son père Yves Thomas, financier, éditeur et journaliste qui a dirigé successivement trois galeries.
Nos dernières créations Ils sortent de l'atelier Entretenez votre couteau Nos conseils d'entretien Les couteaux Ceccaldi sont garantis à vie. Cependant, afin de profiter de cette garantie, vous devrez observer les conditions d'entretien ci-dessous, et bien évidement ne jamais utiliser de lave-vaisselle pour l'entretien de ces couteaux.
Il passe également devant le stand tenu par Sébastien Deroo et trois autres familles, toutes venues du Cantal pour proposer des solutions "low tech", des stages de formation à la décroissance et des diagnostics sur l'autonomie énergétique. "On était déjà présents en 2019 et on sent une nette différence dans la démarche des gens, les questions sont plus précises, avec une vraie volonté de chercher des solutions, moins de la simple curiosité", assure M. Deroo. Dans sa maison, il subvient à tous les besoins du quotidien de sa famille grâce à quatre panneaux solaires et un poêle de masse. Installé à 1. 200 mètres d'altitude, il assure ne plus être client d'EDF "depuis 2014" et ne consommer, en appoint, que 25 litres d'essence, "pour le générateur, huit à dix jours dans l'année, quand c'est vraiment trop nuageux". Un modèle que rêverait de suivre Eric, mais pas tout de suite, car pour cela "il faudrait déjà quitter la région parisienne". L'essor du survivalisme: "un couteau, c'est la base de la survie". Recevez chaque matin l'essentiel de l'info