Nous sommes constitué physiquement de la même manière. Être humain signifie avoir conscience de soi, c'est-à-dire poss éder le "je" dans sa représentation à la différence des animaux. Descartes: " Je pense donc je suis". Nous pensons c ar nous avons conscience d'exis ter. C e qui caractérise l'être aus si c'est aussi le langage, qui est universel. Selon Hegel, le langage est un élément de la pensée: " C 'est dans les mots que nous pensons". A utrui est alors semblable car il possède le langage, élément commun à tous. De plus la notion de similitude peut-être mise en avant avec le fait que l'homme possède la tec hnique. Seul l'être humain est capable de fabriquer et d'utiliser des outils. C es arguments font qu'autrui est s emblable à moi par le fait même d'être humain. Identité et diversité. Q ui dit semblable dit la reconnaissance d'une identité et l'affirmation d'une parenté avec tous le sentiments que cela implique. A utrui es t mon semblable c ar il partage des sentiments identiques. En l'autre je me retrouve à travers la sensibilité, les émotions, etc.
0. 2. – Autrui est l'Autre humain, l'alter ego. - Il est la version humaine, anthropologique, de l'Autre en général. Mais…. Moi je via la vie à coté 1071 mots | 5 pages Dissertation « Moi je vis la vie à coté » affirme Charles Cros. Le poète par nature a toujours été différent des autres, bohème, marginal, doté d'une sensibilité, incompris. Autrement dit, un être différent aussi par son talent et ses idées. Cependant il reste à la fois semblable aux autres hommes. Mais en quoi la vie du poète est différente et parfois semblable par rapport à celle des autres hommes? En quoi l autre est il semblable et différent corrigé la. Pour quelles raisons le poète se porte de cette façon différente ou semblable? Telles sont les questions…. Peut On Faire Le Bonheur D Autrui 2094 mots | 9 pages fait comprendre qu'afin d'être heureux, il faudrait qu'on compare notre bonheur à celui d'une personne. Autrement dit, on ne serait heureux que si l'on arrivait à comprendre le bonheur d'autrui, puis de se l'accaparer. Cela voudrait dire que l'on serait totalement dépendant des autres dans notre éternelle et commune recherche du bonheur.
Le photographe a envoyé 6 reporters dans 75 pays pour dresser 5000 portraits d'habitants pour connaitre leurs rêves, leurs peurs, leurs vies. Expérience prolongée par un site où chacun peut participer.
Il semble que non, car autrui est posé comme autre sujet, et non comme objet; comme semblable et non comme autre absolu. I. On peut admettre qu'autrui est un semblable: il est aisé à connaître a) La notion de semblable indique une identité: autrui est un homme. b) L'idée de communauté, et notamment de communauté linguistique: nous nous comprenons ou pouvons nous comprendre. Une communication, un dialogue sont possibles. c) La morale admet que l'autre est sujet: le semblable est l'objet de la morale, par laquelle, reconnaissant en autrui une dignité, une sensibilité et une liberté, je le pose comme semblable, être appartenant à une même communauté morale. Je peux le connaître car nous partageons cette « semblance » dans une même communauté. II. Mais cette « semblance » est formelle: en réalité, autrui est dissemblable, différent a) La notion d'autrui comme autre sujet est contradictoire: il est autre donc dissemblable, ou il est moi-même, ego. En quoi l autre est il semblable et différent corrigé de l épreuve. Je le reconnais comme homme, ce qui est formel, mais comme différent.