C'est bien connu, lors d'une infection, le système immunitaire est en première ligne pour défendre l'organisme face à cette agression. Et si le cerveau travaillait « main dans la main » avec le système immunitaire pour l'aider dans sa tâche? C'est ce que suggèrent de récents travaux parus dans la revue Nature Immunology et qui mettent en évidence l'implication du cerveau dans la régulation de la réaction inflammatoire induite par le système immunitaire lors d'une infection. Réponse immunitaire et rôle du cerveau Une infection causée par des virus ou d'autres organismes pathogènes entraîne une activation du système immunitaire en charge d'éliminer les agents infectieux. Les cellules immunitaires libèrent alors des molécules inflammatoires appelées « cytokines », responsables du processus d'inflammation indispensable pour lutter contre la dissémination des éléments pathogènes dans l'organisme. Néanmoins, il peut arriver que la réaction inflammatoire soit excessive ou s'emballe provoquant alors des lésions irréversibles au niveau des organes infectés voire le décès.
– Si oui, qu'avez-vous mis en place? – Sinon, quel est votre plus grand obstacle pour l'installer à l'heure actuelle? Personnellement, lorsque j'avais ma classe à 100%, je n'étais pas satisfaite de l'ambiance de classe, même si je mettais en place des outils qui apportaient un mieux-être. Mon plus grand obstacle était, je pense, de me faire confiance afin d'enseigner en fonction de mes valeurs et non en fonction de ce que je pensais qu'on attendait de moi. ET VOUS? J'espère que cet article a pu vous apporter des informations utiles et je me réjouis de vous lire. À bientôt, Vanessa Beauverd Fondatrice d'Ecole & Bien-être et créatrice des Ateliers E&B Ex-enseignante primaire et éducatrice ados "C'est en étant bien avec soi-même que l'on peut être bien avec les autres et le monde. Apprendre à se connaître est la première étape. " Recherches utilisées pour trouver cet article:le cerveau dans la main Partagez l'article s'il vous a plu:-)
Dans ces deux zones, comme je le disais plus haut, le cerveau limbique (le pouce) n'est plus connecté aux fonctions supérieures (les doigts) d'adaptation, de réflexion etc... Le principe de la gestion de ses émotions, c'est d'apprendre à garder active cette connexion. C'est aussi découvrir comment ne pas laisser le "contrôle" au cerveau responsable de la réaction au stress, c'est à dire de garder le pouce encore quelques peu couvert par les doigts repliés sur la paume. Mais la bonne nouvelle, c'est que c'est possible! Le coaching de vie est un moyen pour vous de découvrir comment gérer vos émotions au quotidien. Découvrir des pistes utiles et adaptées à votre propre situation de vie. C'est un chemin de vie sur lequel je me ferais un plaisir de vous accompagner.
Le cerveau limbique est représenté par le pouce replié sur la paume de la main. Il est le siège des pulsions, des émotions, des fonctions automatiques telles que la respiration et la digestion. C'est aussi cette partie du cerveau qui est responsable des réactions en lien au stress, comme la fuite, le combat ou l'état de sidération ou "blocage". Pour illustrer ces réactions, nous pouvons observer le chasseur préhistorique face à un prédateur. Pour sa survie, il doit, fuir, combattre ou "faire le mort". Petit à petit, l'Homme apprend et les fonctions supérieures de son cerveau s'installent au niveau du cortex frontal. En effet, c'est là que se situent les capacités d'adaptation, de régulation des émotions; la capacité aussi de prendre des décisions, de s'organiser, etc. C'est aussi le lieu où s'élabore la pensée, la logique et le raisonnement. Ainsi, au niveau de l'image élaborée par Daniel Siegel, ce sont les doigts qui viennent couvrir le pouce, quand nous fermons la main. Les doigts refermés sur le pouce, représentent donc cette capacité de ressentir des émotions, même fortes, tout en gardant active la connexion avec nos compétences de raisonnement, de réflexion.
Lire aussi – Deux nouvelles molécules pour lutter contre les maladies auto-inflammatoires Déborah L., Docteur en Pharmacie – Face aux infections, cerveau et système immunitaire coopèrent. Communiqué de presse Inserm. Le 13 Septembre 2018.
Le fonctionnement de leur cerveau en réaction à des événements extérieurs. 2. Pourquoi ils ont parfois du mal à gérer leurs émotions. 3. Que leur cerveau est en pleine construction et que: – ils sont en train d'apprendre à gérer leurs émotions (pour les enfants de plus de 6 ans environ). – ils ne peuvent pas gérer leurs émotions (pour les enfants de moins de 6 ans). Et du coup, on fait quoi? On dit aux enfants qu'ils n'y peuvent rien et qu'on ne peut rien faire pour eux! Bien sûr que non 😉 Nous sommes là pour leur sécurité, pour leur donner des outils et un environnement propice au développement de leur cerveau. Que pouvons-nous faire pour aider les enfants à gérer leurs émotions? Sécurité Pour les enfants qui ne peuvent pas gérer leurs émotions (jusqu'à 5 à 7 ans), il est important de leur donner un cadre de sécurité. Une sécurité physique, mais également psychique: – sécurité physique: faire en sorte qu'ils ne se blessent pas et ne blessent pas leur entourage. Par exemple en prenant l'enfant dans ses bras.