La pièce "Ngaahika Ndeenda", de retour sur scène après plus de quarante ans d'interdiction au Kenya, à Nairobi, le 26 mai 2022 ( AFP / Tony KARUMBA) Depuis quelques semaines, le théâtre de Nairobi résonne de tirades presque oubliées: 45 ans après avoir été interdite et ses deux auteurs - dont le célèbre Ngugi wa Thiong'o - emprisonnés, la pièce la plus connue du Kenya fait son retour au pays. La dernière représentation de "Ngaahika Ndeenda" ("Je me marierai quand je veux") sur le sol kényan remontait à 1977, interprétée par des ouvriers et paysans de la ville de Limuru, dans le centre du pays. La pièce n'aura été jouée que quelques semaines. Rapport engagé moto 9. L'écho rencontré par ce récit évoquant l'exploitation des Kényans ordinaires par l'élite politique et économique du pays a déplu aux autorités, qui ont rapidement interdit la pièce et l'ensemble de l'oeuvre de Ngugi wa Thiong'o. L'écrivain et le co-auteur de la pièce, Ngugi wa Mirii, ont été arrêtés et emprisonnés. Après un an dans la prison de haute sécurité de Kamiti, Ngugi wa Thiong'o est libéré.
Le sport a aussi ses grandes stars comme l'entrepreneuriat, ce n'est ni sale ni moche. Il y a la question de ce qu'il fait de son argent. Il donne beaucoup pour les quartiers, il fait beaucoup de choses pour cette redistribution sociale", a appuyé l'ancienne joueuse de tennis, qui a succédé à Roxana Maracineanu.
Oui, un peu. J'ai effectué une bonne première partie de saison en jouant peut-être avec l'esprit plus libéré. Par rapport à la prolongation, il y a eu quelques petits incidents qui m'ont perturbé. Après, j'ai eu une période compliquée avec les cartons. Je n'étais sûr de rien, il fallait que je sois rassuré. Sur la deuxième partie de saison, au moment où j'ai été rassuré, ça s'est très bien passé. Avec l'arrivée de Scotty (Sadzoute, en janvier, NDLR) et le club connaissant aussi ma situation, j'ai moins joué mais ça reste quand même une bonne saison. Rapport engagé moto max. Cela a-t-il été compliqué de terminer la saison en sachant que vous ne serez plus là la saison prochaine? Cela n'a pas été compliqué. J'ai beaucoup parlé avec le coach. Je l'avais vu et il savait que j'allais rester concerné, c'est normal. Mon contrat se terminait fin juin, le championnat mi-mai, c'était une obligation de rester sérieux jusqu'à la fin. Le coach aussi a été très bien avec moi. Il aurait pu me mettre sur le banc et ne plus me faire jouer du tout.
De retour chez lui en Norvège, on lui a dit qu'il n'avait pas non plus à payer l'amende d'environ 400 couronnes norvégiennes. – Mes droits humains m'ont été retirés parce que je n'ai pas bénéficié d'un procès équitable. Je n'ai eu qu'un seul choix. Reconnaître sa culpabilité ou aller en prison. – C'était difficile à avaler d'admettre sa culpabilité pour quelque chose que je n'avais pas fait. Cinq fois au tribunal NRK s'est récemment concentré sur les conséquences de l'accord sur le mandat d'arrêt européen, qui a été introduit en novembre 2019. L'accord de l'UE a également eu un effet rétroactif. L'avocat norvégien de l'homme d'une quarantaine d'années, Alexander Gonzalo Sele, s'interroge sur l'utilisation des ressources par la société dans cette affaire. L'affaire de remise a été entendue cinq fois devant un tribunal en Norvège. FAIT DU JOUR Théo Sainte-Luce : "Il y a eu quelques petits incidents qui m'ont perturbé" - Jnews - Toute l'infos. Selon l'accord de l'UE, les tribunaux norvégiens n'ont le droit d'évaluer les conditions de remise qu'en cas d'appel. Les éléments de preuve dans l'affaire ne seront évalués que par un juge du pays qui a délivré le mandat d'arrêt.