Mes enfants, je vous remercie également, qui avez soutenu tout cela avec votre foi, croyant en ma présence et accueillant les signes envoyés du Ciel et pour ceux qui ont ouvert leur cœur, rien ne manquera, il y aura beaucoup de grâces, même les plus petites, que vous ne remarquez parfois pas. Enfants, mes enfants, je vous ai appelés un par un, à être des témoins courageux et je suis ici, encore une fois pour vous demander de m'aider à amener des âmes à Dieu. La prière pour l'événement d'aujourd'hui libérera beaucoup d'âmes. AELF — Office des vêpres — 16 mai 2022. La peste viendra, priez pour la terre de mon Fils. Maintenant, je vous bénis au nom de la Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, amen. Message de Notre Dame de Trevignano Romano, à Gisella Cardia, le 19 avril 2022 / Mon Fils sera vu de tous, croyants et non-croyants, ceux qui auront cru auront de grandes récompenses. Ma fille, merci d'avoir répondu à mon appel et d'avoir fléchi les genoux dans la prière. Ma fille, la Résurrection de mon Jésus doit être la Résurrection de vous tous, changez vos vies, cherchez les choses du ciel, préparez-vous car mes enfants les plus fidèles recevront tant de dons.
Notre Père Oraison Dieu, qui peux mettre au cœur de tes fidèles un unique désir, donne à ton peuple d'aimer ce que tu commandes et d'attendre ce que tu promets, pour qu'au milieu des changements de ce monde, nos cœurs s'établissent fermement là où se trouvent les vraies joies.
Les trois points de suspension cassent un peu la mesure de la strophe, a positionné plutôt en fin de strophe pour garder le rythme. Pour le vers final, je le trouve trop doucereux, mielleux. Un "stoppes le carnage" en fin de vers m'aurait parût plus approprié surtout qu'au départ les deux premiers vers sont plus rentre dedans, je ne comprend donc pas ce final sirupeux. Malgré tout, la lecture a été plaisante et l'on en comprend chaque vers même si on ne peux accuser personne en particulier puisque certains mots sont flous et peuvent être interpréter de diverses manières. Merci pour la lecture Pepito 30/1/2019 Oh me faire venir sur ce coté de la page, à moi. Seul refuge de mon âme d'enfant. ^^ Bref, ce que je n'aime pas dans la versification c'est que la "forme" prend le pas sur le "fond" et que l'on peut tout faire dire à ces quelques vers. Ici, comme ailleurs, je vois l'idée mais je ne comprends pas le message avec certitude. Juste que la fin "et sois sage! " venant de toi, m'a bien fait marrer. A plouche!
Que fais-tu soldat? NB la révolte coule dans les cris de l'héroïne, qui est si heureuse d'avoir une nouvelle famille, mè cet orphelin de patrie sur ce nouveau sol, trouve champs et nature tranquilles! Il ne peut être " soldat " d'une armée autre que celle de sa terre d'accueil! S'il se révèle " soldat " et fait couler le sang de ses nouveaux frères, il est traître d'un pays en paix et mérite davantage que cette " remontrance " ( chante-le et sois sage! ) malgré la rectification que j'apporte ici, j'aime votre démarche de " grande soeur " comme on les appelle! Seul refuge de mon ame.fr. Lulu Beaucoup ↑ Bonjour Femme-Cattleya, Pour ma part, j'ai aimé votre poème qui exprime des émotions sensibles. J'ai notamment aimé la première strophe qui pose le thème et la tonalité du texte. Les questions témoignent de l'incompréhension, et de l'émotion éprouvée à la fois. "Que fais-tu de tes frères d'antan? / Au nom de quel Dieu, voles-tu leurs enfants? " J'ai trouvé intéressante cette façon de questionner par rapport au passé.
» Car c'est bien dans le brouillard d'un monde qui se défait que les mots s'élèvent comme des étendards, que le poète témoin porte fermement la conscience du trouble et le seuil de son renversement. Seul refuge de mon ame. « Le navire est nuage de la mer et j'ai oublié quel est mon destin, j'ai oublié la proue et la lune, je ne sais pas où vont les vagues, ni où m'emporte le navire. Le jour n'a ni terre ni mer. » Bibliographie: Neruda, Pablo, Tes pieds je les touche dans l'ombre, Seghers, 2016. Rodolphe Perez Rédacteur en chef Idées Imprimer cet article Commentaires
« Tes pieds je les touche dans l'ombre, tes mains dans la lumière, et dans le vol me guident tes yeux d'aigle Matilde, avec les baisers appris de ta bouche mes lèvres ont appris à connaître le feu. » Et si la bouche de Matilde apprend les baisers elle transmet à son tour une parole qui jaillit de son propre feu, une parole qui porte avec elle la chaleur et le jour, qui rompt des ténèbres le pouvoir aliénant – puisque c'est aussi politique que s'écrit la poésie. « et je me demande si tu ne travailles pas en tissant l'étain secret du blanc navire qui traverse la nuit obscure » « si tes yeux ouverts au milieu du ciel en été font du soleil à la terre tomber sa jaune épée » Car nul n'ignore la nuit d'où les mots sont tirés mais le poète toujours retranche les ombres, et si la parole s'enracine où elle cherche sa propre lumière, c'est toujours pour mieux apprendre à parler dans l'écriture.