Résumé du document Doté d'une conscience, l'homme est un être intelligent, comme a pu le souligner Descartes, cherchant à se connaître et à comprendre les phénomènes qui l'entourent, l'homme a su tirer profit de la nature, tant de la faune que de la flore. C'est par elle et à travers elle qu'il a su évoluer. Source d'inspiration inépuisable, la nature apparaît comme la « mère » de l'homme tant elle est un modèle et enfante les ressources nécessaires à sa survie. Dissertation Le Classicisme. Mais ce lien de dépendance entre l'homme et la nature est-il pour autant harmonieux? L'homme et la nature ne sont-ils pas des rivaux qui ne cessent de chercher à prendre le dessus l'un sur l'autre? En d'autres termes, l'homme et la nature doivent-ils être perçus comme étant des amis ou des ennemis? Sommaire La nature menacée par l'homme Le lien de dépendance entre l'homme et la nature L'exploitation de la nature par l'homme L'homme menace par la nature La domination de la nature La nouvelle prise de conscience Extraits [... ] Toutefois, malgré cet attachement, l'homme a à plusieurs reprises mis la nature en danger, provoquant ainsi de nouveaux phénomènes climatiques avec des répercussions dangereuses pour l'avenir comme a pu le souligner l'américain Al gore à travers son film documentaire.
Elle ne manque ni d'élan ni de profondeur. Comme le montre l'exemple de Racine, elle saura jeter des clartés jusque dans les mystères du subconscient. III. La moralité de Part La beauté et la vérité ne sauraient néanmoins suffire à l'œuvre d'art. Les Classiques ne sont pas avant la lettre des disciples de l'Art pour l'Art. Ils assignent à leurs œuvres une fin morale, et la peinture des passions et des vices doit contribuer à « purger » les âmes des vices et des passions. Boileau lui-même, il est vrai, insiste moins sur la moralité de l'œuvre que sur celle de l'artiste, et le pessimisme de La Rochefoucauld s'accorde assez mal avec le souci et l'espoir de corriger les hommes dont il nous fait un portrait si décevant. Dissertation sur la nature humaine. Pourtant, même s'il semble bien que la vérité de la peinture ait en général passé pour nos Classiques avant la portée morale de leurs œuvres, on doit reconnaitre que leurs préfaces et leurs déclarations témoignent sans cesse de leur désir d'instruire et d'améliorer leurs semblables.
Vous verrez dans cet exercice l'occasion de faire une révision dominée d'une partie essentielle de votre programme.
Très rigide dans les espèces inférieures, l'instinct révèle une certaine plasticité dès qu'on s'élève dans l'échelle zoologique. Avec certaines espèces, par exemple les chimpanzés, on observe des conduites intelligentes mais il s'agit alors d'une intelligence concrète. Son exercice est toujours ordonné à la satisfaction des besoins, par exemple la construction des digues par le castor, des alvéoles de cire par les abeilles. Marx formule dans une analyse célèbre la distinction entre l'activité humaine consciente et volontaire et l'activité instinctive: « Une araignée accomplit des opérations qui ressemblent à celle du tisserand; une abeille par la construction de ses cellules de cire confond plus d'un architecte. Mais ce qui distingue d'abord le plus mauvais architecte et l'abeille la plus habile, c'est que le premier a construit la cellule dans sa tête avant de la réaliser dans la cire ». Capital, 1867. Le mythe de Prométhée dans Protagoras de Platon. Dissertation sur la nature philo. La première partie du mythe de Prométhée révèle que l'homme est une espèce naturelle au même titre que les plantes et les animaux.
A partir de là, on peut se poser deux questions principales qui nous laissent observer la tension qui réside au centre de notre sujet, à savoir; est-ce que la nature fait quelque chose dans un but précis et si elle fait quelque chose par ellemême? auquel cas, on peut dire qu'elle est agent et qu'elle a donc un principe d'action propre à son fonctionnement qui lui accorde la possibilité d'avoir une intention et une finalité, par conséquent, est-ce... Uniquement disponible sur
Les titres des parties ne doivent pas figurer sur votre copie. Introduction [accroche] Les programmes électoraux des principaux partis politiques en France mettent en avant la nécessité d'une « transition écologique », montrant ainsi que la protection de l'environnement est devenue une véritable question politique. L'opinion publique, quant à elle, s'était emparée depuis plusieurs années déjà du thème du développement durable. [présentation du sujet] On peut donc se demander comment la préservation de l'environnement est devenue un problème public, c'est-à-dire de quelle manière les actions permettant de protéger l'environnement naturel des sociétés humaines sont traitées par les pouvoirs publics. Avons-nous des devoirs envers la nature ? - Commentaire de texte - gossen23. [problématique] Par quelles voies la protection de l'environnement a-t-elle été mise à l'agenda politique? [annonce du plan] Pour répondre, il est d'abord nécessaire d'analyser la mobilisation des acteurs privés pour la préservation de la nature, puis sa prise en compte dans le cadre de l'action publique.
L'idée de devoirs envers la nature est donc caduque. 3. Nous avons des devoirs indirects envers la nature A. Le respect de la nature s'impose pour l'homme lui-même Dans ses Leçons d'Éthique, Kant explique que si les hommes doivent respecter la nature, c'est pour l'homme lui-même. Dissertation sur la nature et l'homme. Ainsi, par exemple, un homme qui abat son chien n'enfreint pas un devoir qu'il a envers son chien, mais « il commet un acte qui heurte en lui le sentiment d'humanité ». Un homme cruel envers les animaux commet un acte qui contredit « l'affabilité bienveillante », montrant, par là-même, qu'il pourrait également être cruel envers ses semblables. Jonas étend ce devoir aux générations futures: lutter contre la pollution est une conduite qui s'impose par respect envers les hommes à venir. B. La nature est un concept large Nous avons peut-être des devoirs envers certains animaux, mais nous n'en avons pas envers les minéraux. Selon Peter Singer, « si un être souffre, il ne peut y avoir aucune justification morale pour refuser de prendre en considération cette souffrance ».