Ici tout commence (TF1): attention, horaire exceptionnel ce mardi 7 décembre! Les diffusions des séries quotidiennes "Ici tout commence" et "Demain nous appartient" sont chamboulées sur TF1, en ce début de semaine. © ITC Hier, lundi 6 décembre 2021, TF1 a déprogrammé les épisodes d' Ici tout commence et de Demain nous appartient, respectivement prévus à 18h35 et 19h10. A la place, la chaine a proposé une édition spéciale à partir de 18h30, pour suivre les annonces du Premier ministre Jean Castex et du ministre de la Santé Olivier Veran. Parmi les mesures qui ont été annoncées: la fermeture des discothèques dès ce vendredi et pour les quatre prochaines semaines, le renforcement du télé-travail jusqu'à trois jours par semaine et le port du masque dans les écoles primaires en dehors de la classe à compter de jeudi. Du côté des vaccinations, elles seront possibles pour les enfants de 5 à 11 ans les plus fragiles dès le 15 décembre, ainsi que sans rendez-vous pour les plus de 65 ans. Ce mardi 7 décembre 2021, la diffusion de l'épisode 286 d' Ici tout commence est avancée à 18h, puisque TF1 propose ensuite deux épisodes de Demain nous appartient, à 18h35 et 19h10.
C'en est trop pour Jasmine qui demande à Eliott de prendre ses affaire, de partir et de ne plus jamais s'approcher de son fils. En plus, Greg donne raison à Jasmine. Cette fois, c'est allé trop loin et il demande à son petit ami de partir le temps de calmer les choses, ce qu'il fait. À Noël dans votre série ➥ Découvrez les résumés en avant de la semaine du 20 au 24 décembre ICI. La bande-annonce de votre semaine Retrouvez « Ici tout commence » tous les jours, du lundi au vendredi, dès 18h30 sur TF1 et/ou en replay sur MYTF1
Eliott lui avoue qu'il déteste la période de Noël, mais ne parvient pas à lui donner plus d'explications. Le soir, une nouvelle dispute éclate entre Jasmine et lui. Alors que cette dernière l'accuse de vouloir la remplacer auprès de Naël, Eliott s'emporte et la traite de déséquilibrée qui a abandonné son enfant. Choquée, Jasmine prend ses affaires et les jette hors de la colocation. Greg concède qu'Eliott est allé trop loin et lui suggère de partir. Rejeté, Eliott s'effondre...
De plus, les 4 meilleurs viendront les seconder pour le repas de noël. Maxime et Salomé décident de prendre les devant en demandant à Hortense, Mehdi, Célia, Eliott et Greg de venir les aider. Avec un peu de chance, ils seront inspirés et ils feront partie de leur brigade. Laetitia est fière d'elle. Pour une fois, elle a assumé ses actes sans chercher à les minimiser. Kelly lui fait remarquer que c'est bien mais qu'être aller se dénoncer ne mérite pas non plus une médaille. Et surtout, ce qui serait bien, c'est que sa mère arrête de faire des conneries et qu'elle soit plus sérieuse. Laetitia assure à sa fille que cette fois, ça lui a servi de leçon et qu'elle ne fera plus d'ânerie. Un peu plus trad, Kelly surprend sa mère parler à Guillaume et pense qu'il se passe quelque chose entre eux. Ses doutes se confirment quand elle trouve la veste de Guillaume en rentrant chez elle et en remarquant que sa mère a revêtu le chemisier qu'elle endosse quand elle a un rendez-vous. Laetitia tente de faire croire à sa fille qu'il ne s'agit que d'un ami; Kelly n'en croit rien.
Eliott tombe des nues et il assure à Jasmine qu'elle est complètement folle. Greg rentre au même moment à la coloc et il veut savoir ce qui se passe. Jasmine lui explique qu'Eliott a dit à Naël qu'elle était tarée. Greg pense qu'elle a peut-être mal compris, mais Eliott persiste à dire qu'elle est folle. Greg essaie de calmer la situation. Jasmine estime qu'elle ne peut plus vivre avec Eliott qu'elle qualifie de toxique. Eliott déclare à Jasmine: « Moi, je suis toxique? C'est marrant venant de la meuf qui a abandonné son fils ». Jasmine est blessée et Greg pense qu'Eliott abuse. Mais ce dernier persiste et souligne que si Jasmine ne serait pas sous traitement, elle serait complètement à la ramasse. Et il fait remarquer à Greg qu'ils ne savent pas même de quoi elle serait capable avec Naël. C'est en est trop pour Jasmine. Elle prend les affaires d'Eliott, les jette dans le couloir et elle le somme de ne plus jamais s'approcher de Naël. Ensuite, Jasmine lui ordonne de partir. Eliott est sous le choc et il se tourne vers Greg.
Il est chronique, mais les actuelles pénuries de main-d'œuvre le rendent plus aigu: les résidents français ne veulent plus exercer certains métiers. Qui a entendu des parents dire à leur enfant: « Tu seras plongeur, mon fils! »? « Beaucoup de gens ne veulent pas faire ces métiers que l'on appelle 3D aux Etats-Unis pour dirty, dangerous and demeaning (sales, dangereux et dégradants) et ces postes sont souvent occupés par des étrangers. La question des migrations, en France, est réduite à l'asile qui ne concerne qu'une minorité de personnes. Collectif de soutien aux travailleurs sans papiers et. La réalité sociale est tout autre: ceux qui se lèvent tôt et font la plonge sont souvent des travailleurs étrangers », analyse Marilyne Poulain. Green card. La CGT demande que les régulations se fassent sur simple présentation d'un contrat de travail ou d'une preuve de la relation de travail. Dans le même esprit, Sophie de Menthon suggère une green card à la française: « Je veux que chaque salarié ait un permis de séjour pour la durée de son contrat », dit-elle.
Car, s'il est vrai que son syndicat possède le savoir-faire et l'expérience pour organiser des conflits collectifs d'une telle ampleur – ce qui prend plusieurs mois –, au final, ce sont toujours les travailleurs migrants qui vont désigner des porte-parole, s'occuper de la trésorerie de la solidarité, tenir et participer aux assemblées générales, prendre les décisions… « L'action leur appartient, la CGT n'est qu'un outil mis à leur disposition. » Jean-Albert Guidou insiste: « Oui, ce sont des personnes fragiles, car extrêmement précaires, mais, dans leur tête, ils sont très forts. Travailleur·euses sans papiers - Marseille Infos Autonomes. Il faut bien s'imaginer que, pour quitter son pays et venir jusqu'en France dans les conditions actuelles, il faut vraiment être déterminé. Il ne s'agit donc absolument pas de les materner, plutôt de les aider à mettre toute cette détermination, toute cette force, au service de leur émancipation en tant que travailleurs. » Une démarche qui a déjà porté ces fruits puisque, dans neufs conflits déclenchés par la grève coordonnée sur dix, les travailleurs ont déjà obtenu satisfaction.
Alors que les discours xénophobes stigmatisent les sans-papiers en les enfermant dans la case « clandestins » – vivant en marge profitant soi-disant du « système » –, les grèves permettent de les remettre au cœur de notre société « en tant que travailleurs et surtout acteurs de leur mouvement et de leur émancipation, souligne-t-elle, ce qui provoque un changement de statut du simple sans-papiers qui devient travailleur sans papiers, c'est-à-dire une personne qui fait partie intégrante de la classe ouvrière. Là est l'enjeu fondamental: ça devient une question sociale qui concerne l'ensemble du salariat ». Un changement de paradigme qui provoque des évolutions favorables auprès de l'opinion, pour qui les sans-papiers commencent à être perçus comme des travailleurs victimes d'une exploitation particulièrement brutale. Collectif de soutien aux travailleurs sans papiers au. Comment rester indifférent face au recours quasi systématique à leurs services dans plusieurs secteurs de notre économie (BTP, hôtellerie-restauration, sécurité, nettoyage, aide à la personne, etc. ) et à l'hypocrisie d'un système dont profitent des employeurs avec la complaisance de l'administration et du gouvernement?
Le RESF dénonce la violence quotidienne subie par les sans-papiers du fait de la politique xénophobe actuellement menée de la France. Nous appelons tous les citoyens pour qui l'égalité des droits n'est pas un vain mot à rencontrer les grévistes sans-papiers sur leur lieu de travail et à manifester leur solidarité avec eux. Réseau Education Sans Frontières
Ces patrons sans vergogne masquent et diluent leurs responsabilités d'employeurs par la cascade de sous-traitance et la filialisation généralisée des activités! Ils profitent à fond de ce système, qui développe sans cesse une armée de réserve de travailleurs sans droits, pour contourner toutes les lois sociales, toutes leurs obligations légales, et organiser un dumping social sans fin. Coordination Grand-ouest de soutien aux personnes sans-papiers. Cette attitude des autorités publiques face aux grévistes est en droite ligne avec le mépris de classe affiché par le pouvoir pour « ceux qui ne sont rien », qui font pourtant tourner entreprises et services au quotidien, mais ne se voient concéder que le droit de subir et de se taire! La façon dont l'État désorganise et liquide les services d'accueil en préfecture pour les demandeurs de papiers, maltraite ces personnes dans des procédures informatiques sans fin, le plus souvent infructueuses, témoigne aussi de ce mépris et de cette malveillance. Les grévistes sans-papiers décidés à ne plus subir, à ne plus se taire!