Référence SB60 BRO Plaque Funéraire Bronze arbre Personnalisation N'oubliez pas de sauvegarder votre personnalisation pour pouvoir l'ajouter au panier Texte Inter N°1 (Max. 20 caractères) Texte Inter N° 2 (Max.
Bruno, Créateur de Phenix, sensibilisé par les désastres écologiques propose une solution funéraire dans le respect du défunt et de l'environnement. Plaque funeraire marbre gravée. La plaque funéraire écologique réunit des matières écoresponsables de qualité et résistantes dans le temps. La plaque funéraire écologique permet de réduire son empreinte carbone et ainsi de participer à notre échelle au changement de notre propre transition écologique. Commandez votre plaque funéraire Toussaint avec la livraison gratuite en point relais
Plaque 100% personnalisée Plaque 100% personnalisée Une plaque tombale 100% personnalisable pour les obsèques La plaque mortuaire personnalisée peut être parfaitement adaptée pour un enterrement funèbre. La famille en deuil peut effectivement créer cette plaque funéraire selon... 57 € Plaque à la demande Plaque à la demande 97 € Marbre noir Marbre noir La plaque tombale en marbre noir est parfaite pour l'enterrement funèbre Si vous recherchez une plaque funéraire, vous pourriez opter pour celle-ci. Plaque funeraire arbre à chat. Le fond de cette plaque mortuaire représente effectivement une véritable pierr... 57 € Marbre Marbre Une plaque funéraire effet marbre parfaitement adapté pour des obsèques De nos jours, il est possible de trouver une plaque mortuaire de tous les types. Néanmoins, la forme la plus courante et sobre reste le marbre. Avec cette... 57 € Marbre blanc Marbre blanc Une plaque funéraire effet marbre blanc pour un hommage délicat Vous pourriez choisir une plaque mortuaire marbre blanc pour les obsèques de l'être cher.
Cet effet de pierre rend cette plaque décès particulièrement élégant et s... 57 € Livre marbre noir et or Livre marbre noir et or Une plaque funéraire livre pour rendre hommage à l'être cher Le choix d'une plaque mortuaire n'est jamais aisé pour l'enterrement funèbre. Aussi, il peut être bon d'opter pour un modèle représentant les loisirs de la personne.... 57 €
I Les pauvres gens de la côte, L'hiver, quand la mer est haute Et qu'il fait nuit, Viennent où finit la terre Voir les flots pleins de mystère Et pleins de bruit. Ils sondent la mer sans bornes; Ils pensent aux écueils mornes Et triomphants; L'orpheline pâle et seule Crie: ô mon père! et l'aïeule Dit - mes enfants! La mère écoute et se penche; La veuve à la coiffe blanche Pleure et s'en va. Ces coeurs qu'épouvante l'onde Tremblent dans ta main profonde, Ô Jéhovah. Où sont-ils tous ceux qu'on aime? Elles ont peur. La nuit blême Cache Vénus; L'océan jette sa brume Dans leur âme et son écume Sur leurs pieds nus. On guette, on doute, on ignore Ce que l'ombre et l'eau sonore Aux durs combats Et les rocs aux trous d'éponges, Pareils aux formes des songes, Disent tout bas. Poeme au bord de la mer et du littoral. L'une frémit, l'autre espère. Le vent semble une vipère. On pense à Dieu Par qui l'esquif vogue ou sombre Et qui change en gouffre d'ombre Le gouffre bleu! II La pluie inonde leurs tresses. Elles mêlent leurs détresses Et leurs espoirs.
II La pluie inonde leurs tresses. Elles mêlent leurs détresses Et leurs espoirs. Toutes ces tremblantes femmes, Hélas! font voler leurs âmes Sur les flots noirs. Et, selon ses espérances, Chacun voit des apparences A l'horizon. Le troupeau des vagues saute Et blanchit toute la côte De sa toison. Et le groupe inquiet pleure. Cet abîme obscur qu'effleure Le goëland Est comme une ombre vivante Où la brebis Epouvante Passe en bêlant. Ah! Au Bord De La Mer poème de Logerie Hébert. cette mer est méchante, Et l'affreux vent d'ouest qui chante En troublant l'eau, Tout en sonnant sa fanfare, Souffle souvent sur le phare De Saint-Malo. III Dans les mers il n'est pas rare Que la foudre au lieu de phare Brille dans l'air, Et que sur l'eau qui se dresse Le sloop-fantôme apparaisse Dans un éclair. Alors tremblez. Car l'eau jappe Quand le vaisseau mort la frappe De l'aviron, Car le bois devient farouche Quand le chasseur spectre embouche Son noir clairon. Malheur au chasse-marée Qui voit la nef abhorrée! Ô nuit! terreur! Tout le navire frissonne, Et la cloche, à l'avant, sonne Avec horreur.
Qu'avez-vous fait de votre liberté! Ce n'est pour vous qu'une vaine parole, Hommes sans coeur, vous êtes sans fierté! Pourtant un jour, il y porta ses pas Ce qu'il y vit, je ne le saurais dire Mais sur les monts il ne retourna pas. Guy de Maupassant
Poésie Française: 1 er site français de poésie Au bord de la mer Vois, ce spectacle est beau.
Au bord de la mer par Théophile GAUTIER La lune de ses mains distraites A laissé choir, du haut de l'air, Son grand éventail à paillettes Sur le bleu tapis de la mer. Pour le ravoir elle se penche Et tend son beau bras argenté; Mais l'éventail fuit sa main blanche, Par le flot qui passe emporté. Au gouffre amer pour te le rendre, Lune, j'irais bien me jeter, Si tu voulais du ciel descendre, Au ciel si je pouvais monter! Les paysans au bord de la mer – Victor Hugo | Poetica Mundi. Recueil Espana Poème posté le 27/12/09 par Rickways Poète Théophile GAUTIER Sa carte de visite Cliquez ici pour accéder à la carte de visite de l'artiste (Sa présentation et l'ensemble des ses créations)
» Qu'avez-vous fait de votre liberté! Ce n'est pour vous qu'une vaine parole, Hommes sans coeur, vous êtes sans fierté! Pourtant un jour, il y porta ses pas Ce qu'il y vit, je ne le saurais dire Mais sur les monts il ne retourna pas. Étretat, 1867 Guy de Maupassant, Poésie Diverses
La mer a beau mugir et heurter ses rivages, Les vents au sein des airs déchaîner leur effort, Les oiseaux effrayés pousser des cris sauvages En voyant approcher la Mort, Tant que du haut sommet de la tour solitaire Brille le signe aimé sur l' abîme en fureur, Il ne sentira point, le nageur téméraire, Défaillir son bras ni son coeur. Comme à l' heure sinistre où la mer en sa rage Menaçait d' engloutir cet enfant d' Abydos, Autour de nous dans l' ombre un éternel orage Fait gronder et bondir les flots. Poeme au bord de la mer nyc. Remplissant l'air au loin de ses clameurs funèbres, Chaque vague en passant nous entr' ouvre un tombeau; Dans les mêmes dangers et les mêmes ténèbres Nous avons le même flambeau. Le pâle et doux rayon tremble encor dans la brume. Le vent l' assaille en vain, vainement les flots sourds La dérobent parfois sous un voile d' écume, La clarté reparaît toujours. Et nous, les yeux levés vers la lueur lointaine, Nous fendons pleins d' espoir les vagues en courroux; Au bord du gouffre ouvert la lumière incertaine Semble d'en haut veiller sur nous.