La mer est arrivée au pied de ma maison tout était d'un calme absolu plus de ( continuer... ) Vous m'avez dit, tel soir, des paroles si belles Que sans doute les fleurs, qui ( continuer... ) Elle perdit d'abord et par degrés sa voix Qu'elle avait chaude et grave, émue ( continuer... ) Voici la mort du ciel en l'effort douloureux Qui lui noircit la bouche et fait ( continuer... ) C'est en vain aujourd'hui que le songe me leurre. Poeme la mort n est rien ne va. Me voici face à face inexorablement Avec ( continuer... ) Vénus, La joie est morte au jardin de ton corps Et les grands lys des bras et ( continuer... ) Pour leur ultime voyage n'ont elles pas préféré l'asile du sarcophage pour ( continuer... ) A mon ami Abel Renault.
C 'est une volupté, mais terrible et sublime, De jeter dans le vide un regard éperdu, Et l'on s' étreint plus fort lorsque sur un abîme On se voit suspendu. Quand la Mort serait là, quand l' attache invisible Soudain se délierait qui nous retient encor, Et quand je sentirais dans une angoisse horrible M ' échapper mon trésor, Je ne faiblirais pas. Fort de ma douleur même, Tout entier à l' adieu qui va nous séparer, J ' aurais assez d' amour en cet instant suprême Pour ne rien espérer. Poeme la mort n est rien que ca. Paroles d'un Amant Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise Ackermann Plus sur ce poème | Commenter le poème | Voter pour ce poème | 1528 votes < 2 3 4 5 6 Les poèmes A B C D E F G H J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Les poètes Z
Je sais que je n' étreins qu'une forme fragile, Qu 'elle peut à l' instant se glacer sous ma main, Que ce cœur tout à moi, fait de flamme et d' argile, Sera cendre demain; Qu 'il n'en sortira rien, rien, pas une étincelle Qui s' élance et remonte à son foyer lointain: Un peu de terre en hâte, une pierre qu'on scelle, Et tout est bien éteint. Et l'on viendrait serein, à cette heure dernière, Quand des restes humains le souffle a déserté, Devant ces froids débris, devant cette poussière Parler d' éternité! L ' éternité! Quelle est cette étrange menace? A l' amant qui gémit, sous son deuil écrase, Pourquoi jeter ce mot qui terrifie et glace Un cœur déjà brisé? Quoi! le ciel, en dépit de la fosse profonde, S ' ouvrirait à l' objet de mon amour jaloux? C 'est assez d'un tombeau, je ne veux pas d'un monde Se dressant entre nous. 37432 - Poème Mort : Souriez, La Mort N’est Rien publié par Beb0U. On me répond en vain pour calmer mes alarmes! « L 'être dont sans pitié la mort te sépara, Ce ciel que tu maudis, dans le trouble et les larmes, Le ciel te le rendra.
Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître; Le reste est confondu dans un suprême oubli. Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître: Son voeu s'est accompli. Quand un souffle d' amour traverse vos poitrines, Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus, Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines Vous jettent éperdus; Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt s' éteindre Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre L ' Infini dans vos bras; Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure Déchaînés dans vos flancs comme d' ardents essaims, Ces transports, c'est déjà l' Humanité future Qui s' agite en vos seins. Poèmes et Textes Choisis: Holland (Henry Scott ) : La mort n'est rien. Elle se dissoudra, cette argile légère Qu 'ont émue un instant la joie et la douleur; Les vents vont disperser cette noble poussière Qui fut jadis un coeur. Mais d' autres coeurs naîtront qui renoueront la trame De vos espoirs brisés, de vos amours éteints, Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme, Dans les âges lointains.
Prie. Souris. Pense à moi. Prie pour moi. Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme il l'a toujours été. Sans emphase d'aucune sorte et sans trace d'ombre. La vie signifie ce qu'elle a toujours signifié. Elle reste ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée, Simplement parce que je suis hors de ta vue? Je t'attends. Je ne suis pas loin. Poeme la mort n est rien faire. Juste de l'autre côté du chemin. Tu vois, tout est bien. Je sais que tu es là – Jean Giono Je sais que tu es là, toujours derrière moi. Derrière moi, maintenant, au moment où j'écris, je sais que ton amitié est plus fidèle que tous les amours du monde et que c'est, humblement, d'une autre qualité. Mais je voudrais que tu aies ta place parmi ceux qui peuvent saisir des pommes, manger des figues, courir, nager, faire des gosses, vivre. Plus égoïstement, je voudrais que tu sois là pour moi. J'écoute. Il n'y a pas de bruit ici. Ici, ici, où es-tu? Là-bas, dans l'ombre de la commode, il n'y a rien que mon lit.