Un Lièvre courant symboliserait la crainte et la timidité. d'après le Manuel héraldique ou Clef de l'art du blason ( Avertissement) par L. Foulques-Delanos, Limoges, oct. 1816
Cela implique donc que les lièvres variables ont leur fourrure blanche alors qu'il n'y a pas de neige, ce qui les rend particulièrement repérables et donc, augmente leurs chances d'être chassés par des prédateurs. Selon Scott Newzy, un des coauteurs de l'étude, cité par le quotidien britannique, « le fait que les lièvres des montagnes n'adaptent pas leur mue est assez surprenant ». Il évoque plusieurs explications: « Cela peut être dû au fait que les lièvres des montagnes n'ont pas la diversité parmi leur réservé génétique pour s'adapter (? ) ou que le changement dans les chutes de neige est trop rapide ». Le lièvre, symbole de l’ouverture - Entrechasseurs.com. Une autre hypothèse avancée est que les prédateurs des lièvres situés dans l'endroit où a été menée l'étude ne sont pas assez nombreux pour les contraindre à évoluer. En dehors de l'Ecosse, la survie du livre variabel inquiète. Ainsi, France Bleu se faisait écho, en février dernier, du sort de cette espèce dans les Alpes, l'animal rencontrant le même problème qu'en Écosse. Selon le président de l'Association des accompagnateurs en montagne de France, « les prédateurs les voient et donc se régalent.
Et s'il est amusant de le chasser devant soi, que ce soit sans chien en s'en remettant à sa lecture du paysage, ou avec un chien d'arrêt ou un broussailleur, le lièvre reste l'animal idéal pour la chasse aux chiens courants. La quintessence de la chasse aux chiens courants Sa capacité à ruser devant les chiens en fait la quintessence de l'exercice, qu'il s'agisse de chasse à tir où de vénerie. D'ailleurs la vénerie du lièvre est la plus dynamique puisqu'un tiers des veneurs la pratique, loin devant celle du lapin (23%), ou même du sanglier (11%). Symbolisme du lièvre | [Books of] Dante. Si l'on tire à l'occasion un lièvre, est que la chose est plaisante, la chasse de cette espèce prend réellement tout son sens lorsqu'elle repose entièrement sur le chien. Aussi peut-on s'interroger sur la pertinence de le chasser en septembre, quand les chaudes journées de fin d'été contrarient la voie du lièvre, et ne facilitent pas le travail des chiens. Tantôt fuyant, tantôt rusant, le lièvre comble le chasseur aux chiens courants, pour peu que la superficie du territoire l'autorise à découpler ses chiens.