La Petite Histoire de la Chanson - Le Curriculum de l'interprète "Qui a le droit" est une chanson composée et interprétée par Patrick Bruel, parue sur son deuxième album live " Si ce soir ". La chanson est classée numéro un des ventes en France durant 7 semaines à partir du 7 décembre 1991 et est certifiée disque d'or. Le clip vidéo a été tourné en version live, Bruel joue du piano et, pendant un moment, des dizaines de milliers de spectateurs interprètent la chanson au lieu du chanteur. Source: Wikipédia Si tu as infos complémentaires écris-moi:-) - Site Officiel de l'interprète: Quelle belle chanson! On dit souvent que les chansons les plus belles sont tristes... Je ne sais pas si c'est vrai mais ce qui est certain c'est que ce titre est magnifique. Mais revenons à l'accompagnement. Si tu trouveras sur la version Club les explications de l'arrangement joué sur la vidéo, je te propose pour débuter de mettre cette chanson à ton répertoire avec une seule rythmique à jouer 2 fois par accord...
Il enregistre plusieurs albums dont Juste Avant, Des souvenirs devant ou Lequel de nous. Au cours de sa carrière, Patrick Bruel sort deux albums de reprises Entre deux avec des chansons des années 30 et Très souvent je pense à vous contenant des reprises des chansons de Barbara. Reprises ou compositions originales nous vous proposons ci-dessous les partitions pour piano des grands succès de Patrick Bruel.
Qui a le droit - Patrick Bruel Soutien Rythmique et Théorique en Vidéo sur la version Club. Tonalité Originale: Sol Majeur sans modulation... quelques emprunts pour le fun. On m'avait Do(1/2) dit, "Te Ré7(1/2) poses pas trop de ques Sol tions. Tu sais pe Lam(1/2) tit, c'est Si7 la vie qui Mim t'ré pond. à quoi ça La(1/2) sert de Dom7(1/2) vou loir tout Sol sa voir Regarde en La l'air et vois c'que tu peux Ré(1/2) voir " Ré7(1/2) On m'avait dit: "faut écouter son père. " Le mien a rien dit, quand il s'est fait la paire. Maman m'a dit: "t'es trop p'tit pour comprendre" Et j'ai grandi avec une place à prendre Refrain Qui a le Sol droit, qui a le Sol7 droit, qui a le Do droit Mim/La(1/2) Lam(1/2) d'faire ça Lam7/Sol(1/2) À un en Ré/Fa# fant Mim7(1/2) qui croit vrai Lam ment C'que disent les Ré(1/2) grands? Ré7(1/2) On passe sa Sol vie à dire mer Sol7 ci, Merci à Si7(1/2) qui, Mim/Si7(1/2) à Lam(1/2) quoi Lam7/Sol(1/2) À faire la Ré/Fa#(1/2) pluie Mim7(1/2) et le beau Lam temps Pour des Ré(1/2) en fants Ré7 à qui l'on Sol ment On m'avait dit: "les hommes sont tous pareils, Y'a plusieurs dieux, mais y'a qu'un seul soleil" Oui, mais l'soleil, il brille ou bien il brûle, Tu meurs de soif, ou bien tu bois des bulles A toi aussi, j'suis sûr qu'on t'en a dit, De belles histoires, tu parles, que des conneries, Alors maintenant, qu'on s'retrouve sur la route, Avec nos peurs, nos angoisses et nos doutes.
Qui a le droit - Patrick Bruel On m'avait Fa#(1/2) dit, "Te Sol#7(1/2) poses pas trop de ques Do# tions. Tu sais pe Ré#m(1/2) tit, c'est Fa7(1/2) la vie qui La#m t'ré pond. à quoi ça Ré#(1/2) sert de Fa#m7(1/2) vou loir tout Do# sa voir Regarde en Ré# l'air et vois c'que tu peux Sol#(1/2) voir " Sol#7(1/2) On m'avait dit: "faut écouter son père. " Le mien a rien dit, quand il s'est fait la paire. Maman m'a dit: "t'es trop p'tit pour comprendre" Et j'ai grandi avec une place à prendre Refrain Qui a le Do# droit, qui a le Do#7 droit, qui a le Fa# droit La#m/Ré#(1/2) Ré#m(1/2) d'faire ça Ré#m7/Do#(1/2) À un en Sol#/Do fant La#m7(1/2) qui croit vrai Ré#m ment C'que disent les Sol#(1/2) grands?
G C D7 G On m'avait dit: " te poses pas trop de questions Am B7 Em Tu sais petit, c'est la vie qui t'répond. A C G Em À quoi ça sert, de vouloir tout savoir A A7 D Regarde en l'air et vois c'que tu peux voir C D7 G On m'avait dit: "faut écouter son père" Am B7 Em Le mien a rien dit, quand il s'est fait la paire. A C G Em Maman m'a dit: "t'es trop p'tit pour comprendre" A A7 D Et j'ai grandi, avec une place à prendre G G7 C E7 Am Qui a le droit, qui a le droit, qui a le droit d'faire ça D E7 Am D À un enfant, qui croit vraiment, c'que disent les grands.
Alors mainte n ant, on s' r etrouve sur la r oute Avec nos p eurs, nos a ngoisses et nos d outes O n passe sa v ie à dire mer c i M erci à q ui i iii, à q uoi A faire la p luie e t le beau t emps P our des en f ants à qui l'on m ent
La punition s'est déroulée à genoux sur un tasseau de bois, cuissée à la main, puis fessées de plus en plus fortes en me grondant. Puis il m'a dit de rester dans cette position et qu'il allait chercher le martinet. Mon sexe a commencé à gonfler. Quand il est revenu, j'ai reçu une bonne fessée au martinet qui l'a laissé quelques belles traces sur les fesses et les cuisses et je suis reparti honteux dans mon short, les cuisses zébrées comme un garnement bien puni. J'avais 28 ans. Ortie — Wiktionnaire. Nous nous sommes revus et nous avons fini par vivre ensemble mais les sentiments ont freiné assez vite ses désirs de me punir alors que j'étais toujours aussi demandeur. J'ai quand même reçu quelques bonnes fessées, pour des fautes réelles et dans des scénarios père-fils, carnet de notes, retenue envoyée par le proviseur etc. Il m'a fait découvrir le piquet sur des longues durées, le slip aux orties, les lignes à copier pendant des heures, les cuisses en feu, en culotte courte, alors que lui regardait la télévision dans une autre pièce.
M. Tampard avait fait venir Mlle Gervaise dans son bureau et il regardait fixement cette belle fille blonde, aux formes attirantes et presque voilées d'une robe qui lui moulait les seins et lui plaquait aux cuisses. Il savait qu'elle mentait, car la terreur de la belle-fille de sa voisine ne lui avait pas échappé et il voulait tout à la fois la confondre et lui faire dire quel motif la poussait à éviter la fessée à Chérie. Mais Mlle Germaine supportait vaillamment l'éclat de ses yeux sans, quand même, que sa tenue eût de l'arrogance. Sa poitrine était oppressée, cela seulement marquait son trouble, un trouble uniquement charnel. Il y a des accès de curiosité féminine qui sont aussi impénétrables que les voies de la Providence. Qui a déjà subi les orties sur les fesses ?. La jolie blonde bien en chair voulait détourner sur elle la colère du contremaître dans le plus lascif des désirs d'être traitée comme Chérie. Sa chair frémissait, ses nerfs vibraient, elle voulait de tous ses fibres goûter à cette volupté qu'elle devinait supérieure à celle de voir claquer et de claquer soi-même.
Tenant Mlle Gervaise solidement ceinturée, à nu sous la chemise, la combinaison et la robe, il lui fit gagner une banquette sur laquelle il s'assit et lui aplatit le ventre en travers de ses jambes. Dans l'attente de la correction, la blonde ne respirait plus que d'une manière saccadée. Son derrière potelé avait de brefs sursauts. Tampard dégrafa les jarretelles qui le gênaient et déboutonna la ceinture de satin qui les supportaient. Ceci lui permit de trousser la chemise plus haut sur le dos bien dodu, superbement creusé aux reins. Souvenirs, souvenirs.... Il installait commodément Mlle Germaine, découvrait un vaste champ que les bas lui amplifièrent encore en coulant jusqu'aux jarrets. La croupe bondit tout à coup, relevée par une série de claques sèches sous son arrondissement capiteux, puis la main fesseuse suivit la courbe du derrière et étala le rouge ardent de la fessée. Les globes jumeaux frétillaient spasmodiquement, leur peau rapidement et chaudement colorée, et la fessée s'accentuant, Mlle Germaine se mit à battre en cadence le parquet de ses pieds, tout en criant, mais langoureusement.
Styles Gastronomie Fille d'agriculteur, Marie-Monique Robin a vu toute son enfance les orties éliminées à grand renfort de Roundup. Depuis, la journaliste d'investigation et auteure de documentaires tels que « Le Monde selon Monsanto » a fait la paix avec cette plante mal-aimée. « Je suis née dans une ferme des Deux-Sèvres. Mon père et ma mère, agriculteur et fille de commerçant, se sont rencontrés à la JAC, la Jeunesse agricole catholique. Ce mouvement né dans l'entre-deux-guerres peut paraître ringard, mais il était très novateur à l'époque: ces fils de paysans, souvent considérés comme des ploucs, affirmaient là leur statut avec fierté. Mon père était brillant, il aurait pu avoir un autre parcours, mais il a voulu rester agriculteur, convaincu qu'il fallait faire évoluer le monde rural. Il a toujours dit: " On fait le plus beau métier du monde, si on n'était pas là, personne ne pourrait vivre ni travailler. " Quand il a repris la ferme familiale, il est entré tête baissée – comme bien d'autres à ce moment-là – dans le système agro-industriel.
D'autres plaisirs complémentaires et tout aussi troublants… Un jour qu'il était en train de me punir, j'étais à genoux sur une chaise, les mains sur la tête, en culotte courte et mes cuisses étaient en train de rougir sous les lanières, on a sonné à la porte. Il m'a dit de ne pas bouger. Il est allé ouvrir, c'était le plombier qui devait passer beaucoup plus tard mais qui avait de l'avance. Je suis resté en position, les cuisses en feu, en entendant le plombier passer d'une pièce à l'autre pour résoudre un problème de chauffage. J'étais dans le coin d'une pièce qui s'ouvrait sur la cuisine et même si on ne pouvait pas me voir en passant, j'avais peur et envie d'être vu ainsi humilié et puni. J'ai recherché aussi la fessée devant témoins mais mon compagnon était trop difficile sur les témoins potentiels et cela ne s'est jamais fait. Quand nous nous sommes quittés, il m'a donné le martinet qui avait servi à mon éducation et qui portait une étiquette à mon nom pour que je le transmette à celui qui prendrait en main la suite.
C'était bien mais pas encore le vrai martinet qui m'avait tant fait fantasmer enfant et adolescent. J'ai connu ma première fessée à 18 ans avec un homme beaucoup plus âgé que ça n'intéressait pas du tout et cela a été un échec. J'ai passé des annonces dans des petits journaux de rencontre, quand j'ai quitté la maison pour aller à l'université. Il a fallu attendre l'âge de 21 ans pour recevoir la première fessée très humiliante dont je rêvais, par un homme mûr qui m'a fessé comme son fils. Une vraie découverte!!! et un plaisir très intense. Puis j'ai recherché un compagnon plus âgé pour vivre la fessée, le martinet et la culotte courte imposée au quotidien. Après quelques errances, j'ai rencontré un homme qui avait 11 ans de plus que moi et à qui ma recherche convenait bien, ayant lui-même reçu fessées et martinet dans son enfance. La première rencontre s'est faite un soir d'été. Je suis allé chez lui en short très court et il m'a accueilli avec deux bonnes claques sur les cuisses, ce qui m'a fait penser que j'avais trouvé ce que je cherchais.
L'heure du déjeuner avait sonné; en hâte les ouvrières quittaient l'atelier. Elles passèrent devant la porte du bureau de M. Tampard et quand le bruit des pas de la dernière fut éteint, Mlle Germaine baissa les yeux et poussa un long soupir. Elle était seule avec l'homme énergique dont elle rêvait de faire son bourreau. Chérie à sa place, dans cette pièce, le contremaître l'eût déjà « exécutée ». Elle ne pouvait pas attendre tant de précipitations. Elle venait mendier l'âpre correction masculine, et il lui était obligatoire de faire le geste symbolique pour éclairer la lanterne du contremaître: c'est à dire tendre... non la main mais ce sur quoi la main devait dispenser honte, brûlure et pâmoison. Elle courba la tête sur sa poitrine houleuse et pétrit sa robe sur le côté de ses cuisses, la remontant juste assez pour montrer la boucle de ses jarretelles. Le visage de M. Tampard se colora brusquement et sa respiration devint haletante, il lui aurait fallu être bien sot pour ne pas profiter de tout ce que le geste avait de significatif.